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Région :
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Préfets :
Achille Villey-Desmeserets
(1934 - 1940) Achille Joseph Henri Villey-Desmeserets, Préfet de la Seine (1878-1953)
Charles Paul Magny
(13/10/1940 - 19/08/1942) Préfet de la Seine (1884-1945)
François Bard
(14/05/1941 - 01/06/1942) Amiral François Marc Alphonse Bard, Préfet de police de la Seine (1889-1944)
Amédée Bussière
(01/06/1942 - 19/08/1944) Préfet de police de la Seine lors de la rafle du Vél d’Hiv (1886-1953)
René Bouffet
(19/08/1942 - 19/08/1944) Préfet de la Seine. Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
Marcel Pierre Flouret
(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
Charles Léon Luizet
(1944 - 1947) Préfet de police de la Seine (1903-1947)
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Le lycée Camille-Sée, créé durant les années 1930, était un lycée de jeunes filles, situé 11 rue Léon-Lhermitte dans le 15e arrondissement. Il porte le nom du député qui a déposé le projet de loi sur l'enseignement des jeunes filles, le 29 octobre 1878, adoptée en 1880. Le bâtiment, en béton et granite rose concassé avec des débris de marbre, a été construit sur l'emplacement des terrains de l'usine à gaz, par l'architecte François Le Cœur, dont le fils a repris le chantier à la mort de ce dernier. D'un pavillon, situé dans le square Saint-Lambert en face, un souterrain permettait aux élèves de rejoindre ou de quitter leur établissement. (Source : C'était hier... le XVe arrondissement, page 82.) source photo : Caroline D. Laurent crédit photo : D.R. | |
Mairie du 15ème arrondissement, 31 rue Péclet source photo : Gérard Janot crédit photo : D.R. | |
La synagogue de la rue Chasseloup-Laubat dans le 15e arrondissement est réalisée par l'architecte Lucien Bechmann, qui avait reconstruit l'hôpital Rothschild. C'est l'une des dernières synagogues monumentales construites au XIXe siècle source photo : FLLL crédit photo : D.R. | |
Le 15e vu depuis la tour Montparnasse source photo : Koakoo crédit photo : Libre de droit | |
Entrée de la Ruche, 2 du passage de Dantzig. La Ruche est une cité d'artistes comptant une soixantaine d'ateliers, fondée en 1902 par le sculpteur de Nogent-sur-Seine Alfred Boucher (1850-1934), à partir d'éléments récupérés après la fermeture de l'exposition universelle de 1900 : le pavillon des vins de Bordeaux (dont la structure métallique est de Gustave Eiffel) et la grille d'entrée du pavillon des femmes. Le nom de Ruche a été donné par Alfred Boucher lui-même, qui considérait les artistes bourdonnant de créativité qui s'agitaient dans la cité comme les abeilles d'une immense ruche. Créée pour aider de jeunes artistes sans ressources, La Ruche a accueilli Modigliani, Soutine, Brancusi, Léger, Marie Laurencin, Luigi Guardigli, Kikoine, Paul Rebeyrolle, Pierre Nocca, Marc Chagall... source photo : Binche crédit photo : D.R. | |
Cour centrale du Lycée Buffon, conçu en 1885 par l'architecte Joseph Auguste Émile Vaudremer et implanté sur l'emplacement de l'ancien cimetière de Vaugirard. Le "lycée de la rive gauche", prend le nom de "lycée Buffon" en 1888, à l'occasion du centenaire de la mort du grand naturaliste. Durant la Seconde Guerre mondiale, le lycée Buffon sera un lieu de résistance active. source photo : Lycée Buffon crédit photo : D.R. |
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L'arrondissement de Vaugirard
20/05/2012
Les familles juives à Paris sous l'Occupation
Quelque 330 000 Juifs vivent en France à la veille de la Seconde Guerre mondiale. 200 000 d'entre eux résident dans la capitale, un quart sont issus de familles françaises établies depuis plusieurs générations, dites “de vieille souche”, ou “Israélites”, la moitié sont des étrangers non naturalisés, le dernier quart des naturalisés. Certains quartiers parisiens sont des lieux traditionnels d'implantation : Saint-Gervais – Saint-Paul dans les 3e et 4e arrondissements, Belleville (20e), Montmartre (18e), ou encore les alentours de la rue Cadet dans le 9e, et dans le 11e le quartier Basfroi.
Sous l'Occupation, c'est dans la capitale que se trouvent concentrés tous les dispositifs de la politique antijuive française et allemande. L'outrance antisémite y est portée à son comble. Partis et presse collaborationnistes rivalisent dans la calomnie et la dénonciation. Une formidable propagande inspirée par les services allemands est diffusée par voie de presse, sous forme d'affiches, sur les ondes, dans les salles de cinéma. Elle s'infiltre dans le tissu associatif. Elle se déverse quotidiennement sur une population parisienne en proie aux rigueurs de l'Occupation et atteinte de plein fouet par la pénurie alimentaire. Le 5 septembre 1941, à l'instigation de la Section d'information de l'ambassade d'Allemagne s'ouvre au Palais Berlitz, boulevard des Italiens, une exposition intitulée « Le Juif et la France », placée sous l'égide de l'Institut d'étude des questions juives (IEQJ), officine française de propagande nazie.
Les premières arrestations massives du mois de mai 1941 sont suivies de deux autres rafles dans le courant de la même année. Celle du 20 août dont les victimes sont internées au camp de Drancy, en banlieue parisienne ou encore celle opérée fin de l'année 1941 par la Feldgendarmerie, la SIPO-SD (police de sûreté et de sécurité) et des policiers français en riposte aux attentats de la Résistance.
L'omniprésence allemande dans la capitale provoque des manifestations d'hostilité à l'instigation des jeunes communistes. Les premiers attentats contre les forces d'occupation sont suivis de représailles sanglantes, d'exécutions massives d'otages à Nantes, à Châteaubriant et, à la mi-décembre, au Mont Valérien. Juifs et communistes sont pour les Allemands des cibles de choix. Le cycle sanglant des représailles n'entrave en rien la détermination des premiers résistants. Au début 1942, 4 unités combattantes FTP-MOI, – juive, roumaine (à très grande majorité juive), italienne, hispano-arménienne –, se constituent à Paris. L'unité juive connue sous le nom du "Deuxième détachement juif" ainsi que la formation roumaine s'avèrent particulièrement efficaces dans de très nombreuses opérations militaires menées en plein Paris et dans la banlieue. Continuellement infiltrées, les organisations juives font l'objet de nombreux coups de filets de la Gestapo.
Les mesures d'exception se multiplient. Elles stigmatisent, portent atteinte au principe de nationalité, limitent la liberté de mouvement, entravent les occupations quotidiennes, instaurent des numerus clausus dans l'enseignement et certaines activités libérales, excluent de la vie professionnelle, pénalisent financièrement, bref précipitent les Juifs dans la misère, la précarité et l'insécurité. Beaucoup d'entre elles ont un caractère vexatoire. Le 14 décembre 1941, une amende d'un milliard de francs est imposée aux Juifs de la zone occupée par le général Otto von Stülpnagel, commandant de l'administration militaire en France, en représailles aux attentats menés contre l'occupant.
À l'été 1942, une rafle d'une ampleur considérable est projetée. Pour les vingt arrondissements parisiens, 25 334 fiches sont extraites du fichier juif. Envisagée pour les 13 et 14 juillet 1942, la rafle est reportée au jeudi 16 et au vendredi 17 juillet pour cause de célébration de fête nationale. 1472 équipes d'arrestation sont constituées pour Paris. Chacune comprend un gardien en tenue et un gardien en civil – ou un inspecteur des Renseignements généraux ou de la Police judiciaire –. Pour certains arrondissements comptabilisant un grand nombre de fiches d'arrestation des renforts sont prévus. Ainsi pour les 4 378 fiches du 20e arrondissement, les 255 équipes seront épaulées par 460 gardiens en tenue et inspecteurs de police judiciaire. Une fois sur place, des bus les dirigent – selon la situation familiale ou suivant l'âge des enfants – vers le camp de Drancy ou le Vélodrome d'Hiver. 11 363 hommes, femmes et enfants sont arrêtés à la fin de cette première journée. La rafle reprend le lendemain jusqu'à 13 heures. Au terme du second jour, 3 031 hommes, 5 802 femmes et 4 051 enfants, soit au total 12 884, sont en état d'arrestation, arrachés à leurs foyers. Plus de 8 100 d'entre eux sont rassemblés au Vel d'Hiv dans des conditions effroyables.
Administré par la police et la gendarmerie françaises, le camp de Drancy passe en juillet 1943, sous le commandement du SS-Hauptsturmführer Aloïs Brunner. C'est sur ordre d'Eichmann que celui-ci se rend à Paris. Sa mission ? Hâter la Solution finale de la question juive en France. Tous les moyens désormais lui sont permis pour remplir les convois de déportation, aucune catégorie n'est épargnée, des vieillards de l'hospice Rothschild aux petits pensionnaires des maisons d'enfants et foyers de l'UGIF situés avenue Secrétan, rue Vauquelin et rue des Rosiers à Paris, à Saint-Mandé, Louveciennes, Montreuil, Neuilly et La Varenne en banlieue, à leur tour arrêtés puis déportés quelques jours à peine avant la Libération de Paris.
Le programme de déportation réclamée avec insistance par les Allemands se déroule désormais à une cadence accélérée. Deux jours après la rafle du Vel d'Hiv, le 19 juillet, les premiers internés quittent Drancy, pour Auschwitz. Le 7 août, la quasi totalité des quelque 8 800 adultes – dont près de 6 000 femmes – arrêtés les 16 et 17 juillet 1942 ont été déportés. D'autres rafles sont opérées à Paris et ses environs durant l'année 1942. Elles frappent sans distinction d'âge, visant la nationalité, comme les Juifs roumains le 24 septembre ou les Juifs grecs le 5 novembre.
Les années 1943 et 1944 voient ces opérations se répéter.
Le 25 août 1944 la Libération de Paris intervient. Elle met du même coup fin aux déportations qui, une semaine encore auparavant, se poursuivaient. Le 17 août en effet, le dernier convoi quitte Drancy. Le 22 août, lors de sa libération, le camp compte environ 1 400 internés. Dans le processus d'extermination des Juifs de France, Drancy qui constitua le lieu de départ de 63 des 74 convois de déportation, représenta pour plus de 63 000 Juifs, l'ultime étape.
Au total, sur les quelque 330 000 Juifs résidant en France avant-guerre, 75 721 – soit environ 23 % –, furent déportés. De ces derniers, seuls 2 500 à peine survécurent.
31/10/2019
Auteur : Jean Laloum
Lien : GSRL - Groupe Sociétés, Religions, Laïcités
Dimitri Klépinine
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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse
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Familles réfugiées à Paris 75015
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
1 Famille arrêtée (Paris 75015)
[Compléter]
12/12/1941
Famille Dreyfus - Ivan Marcel, employé de bijouterie, né à Guebwiller (68) le 15/03/1892, fils de Benoît Dreyfus et de Marie, divorcé de Marcelle née Cederbaum, habitaient à Paris, 48 rue du Commerce.
Il est arrêté parce que juif le 12/12/1941 et décède à Compiègne le 05/03/1942.
Date d'exécution : 05/03/1942
Source : Shoah Names Database
7/04/1942 -
François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
14/06/1940 -
La Wehrmacht fait son entrée dans Paris.
10/1940 -
Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
19/10/1940 -
Le Préfet de Police ordonne d’apposer la mention "juif" à l’encre rouge sur les cartes d’identité des Juifs résidant en zone occupée.
14/05/1941 -
Première grande rafle de Juifs à Paris: 3 710 personnes sont envoyées dans les camps du Loiret, à Pithiviers et à Beaune-la-Rolande.
20/08/1941 -
Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
29/11/1941 -
Loi française instituant l’Union Générale des Israélites de France (UGIF). Elle regroupe obligatoirement toutes les associations culturelles et cultuelles.
12/12/1941 -
Rafle dite des notables à Paris, 700 Juifs sont arrêtés.
29/05/1942 -
Ordonnance allemande instituant le port de l’étoile jaune aux Juifs de plus de 6 ans, en zone occupée.
16/07/1942 -
16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.
17/08/1942 -
997 juifs, en majorité d’origine polonaise, sont déportés de Paris au camp d’extermination d’Auschwitz pour y être gazés. 21 enfants de moins de quatre ans figurent parmi les déportés.
20/08/1942 -
Du 20 au 25 août, arrestations massives de Juifs étrangers à Paris. 4 232 hommes sont internés à Drancy par la police française, à la demande des Allemands.
14/07/1943 -
Bombardements aériens alliés sur la Région Parisienne.
Auteur :
Thierry Noël-Guitelman
- terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.
2 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
3 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
4 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
5 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
6 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
7 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
8 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
9 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )
*** avis de recherche Déposée le 19/08/2022
RECHERCHE PERSONNE POUVANT M INDIQUER PAR QUELLE FILIERE LA FAMILLE KAJLER DEEMEURANT A PARIS 2 71 RUE DE LA MAREA PU TROUVER REFUGE A
INSTITUTIONN BOUTEILLY
MONTHLERY
CONTACTER Mme Simone ZIDER née KAJLER
06 85 83 07 45
mzider@club-internet.fr
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*** recherche doc sur le corp franc "alerte" Déposée le 07/06/2021
bonjour, je recherche temoignage article etc.. sur le corp franc "alerte" de aj capitaine charcot neuville (pierre gallais), lieutenant lucien (rubel lucien)...
[répondre]
*** Juifs de Pologne et de Russie dans le 18ème arrondissement de paris Déposée le 23/05/2021
Bonjour,
Docteur en Histoire contemporaine, je cherche à rencontrer des témoins ou leurs descendants, Juifs de Pologne et de Russie ayant vécu dans le 18ème arrondissement de Paris. Je prépare un ouvrage sur ce sujet pour la Fondation Casip-Cojasor. Merci de me contacter.
[répondre]
*** Recherche Témoignages pour documentaire sur les Justes parmi les Nations - Paris Déposée le 17/05/2021
Bonjour,
Nous sommes en train de préparer un film documentaire pour la télévision sur les Justes parmi les Nations à Paris.
Nous sommes à la recherche de descendants de personnes sauvées, ou ayant sauvé des juifs pendant la guerre, qui accepteraient de témoigner en nous racontant leur histoire familiale.
Nous sommes particulièrement intéressés par les jeunes générations qui entreprennent des démarches pour leurs grands-parents, ou pour les personnes ayant sauvé leurs grands-parents ou arrière grands-parents.
Qu'ils aient ou non déjà entrepris cette demande de reconnaissance auprès de Yad Vashem.
Pour en savoir plus, n'hésitez pas à nous contacter à cette adresse mail : filmjustesdeparis@gmail.com
Merci d'avance pour votre aide.
Véronique Bréchot et Cyril Bérard
[répondre]
*** Recherche Joel ou Rosette KROLIK Déposée le 04/03/2019
Je recherche Joel KROLIK ou sa soeur Rosette KROLIK, fils de Keyzer KROLIK et Pesa BULS.
Ou bien leurs enfants.
Joel et Rosa KROLIK sont les cousins germains de ma grand-mere.
Je suppose qu'ils etaient a Paris dans les annees 1950 mais ensuite je ne sais pas.
[répondre]
Répondue le 20/03/2019
Bonjour,
Répondue le 08/05/2021
J'ai lu votre recherche complète sur le site ...."et Sœur céleste" . Par le biais du site de Paulette Mercier qui parle de l'OSE et de sœur celeste , je suis restée sans réponse car moi, ce sont les informations sur sœur celeste et les sauvetages depuis l'orphelinat de la Fernay voltaire que je voudrais connaitre . Cette sœur est de ma famille et les personnes de l'Ose qui ont aidé à ces transferts vers la suisse pourraient aussi être de ma famille. Le site de l'AJPN est très mal renseigné , on ne peut rien obtenir .Si vous avez quelques précisions merci de m'en faire part de préférence sur mon mail
Je ne sais pas de quand date cette annonce. Joël était mon cousin aussi. Vous pouvez me joindre par courriel à dan@dangoldstein.net ou par téléphone au +1 514 919-4586. Malheureusement, Rosette est décédée le 4 septembre 2020. Joël est décédé le 4 avril 2021. Et L'enfant unique de Joël, Serge, est décédé subitement d'une crise cardiaque le 8 décembre 2020. Je viens de parler à la veuve de Joël, Rachel, au téléphone.
*** Recherche informations et/ou témoignages sur Armand Bernard Déposée le 03/10/2019
Recherche toute information relative au parcours de mon parent Armand Bernard, acteur de cinéma né en 1893, avant et après guerre. Il a probablement été réfugié dans la région de Grenoble entre 1940 et 1945.
http://www.ajpn.org/personne-Bernard-Armand-11620.html
Par avance merci.
[répondre]
*** Recherche descendance éventuelle de Abale Lek Déposée le 13/06/2015
Je recherche la descendance d'une personne "Abale LEK" sans aucune certitude si c'est la bonne orthographe et non pas un diminutif.Mon grand oncle Simon Sigal né en 1918 en pologne , puis vint en France illégalement à la demande de mon grand pére paternel Fishel, et y fut arrêté en mars 42 à paris. il fut déporté à auschwitz birkenau le 22 juin 42 par le 3e convoi.il connut cette personne à birkenau ou l'un des camps satellites.puis vers oct/nov 43, ils furent envoyés dans un camp de concentration construit à Varsovie (camp appelé gesiowka car bâti à proximité de cette rue de Varsovie, et qui dépendait du camp de Maidanek), aprés la destruction du ghetto de Varsovie.ils furent un certain nombre de détenus envoyés d'auschwitz par les nazis pour récupérer tout ce qui pouvait être récupéré, vêtements, briques, bijoux,... et qui pouvait être réutilisé en Allemagne.Sur place Simon fit la connaissance de 2 fréres Fred et Lazar.puis vint l'ordre de revenir sur auschwitz.quittant le camp à pied, ils prirent un train vers la ville de Kutno. C'est de ce train que Simon parviendra à s'échapper en compagnie de 4 autres détenus qu'il nomme verbalement "Abale Lek", "André Tcherkes", "Maurice" et "Lazar".Simon se cachera dans la campage polonaise, caché par un paysan polonais.C'est dans les environs de la ferme de ce paysan, que Simon retrouvera cet ami Abale Lek".Simon parle de tout cela dans son témoignage audiovisuel réalisé en fev 1998.i l ne mentionnera plus cet ami , et Simon à l'approche des troupes russes à Varsovie sera arrêté par les russes qui le renvoient par bateau en France. A l'escale à Port Saïd en Egypte, Simon avec l'aide de l'agence juive ralliera la palestine au début 1945.Je sais par mon pére et je n'ai d'autre renseignement, que Simon revit cet "Abale Lek" à paris aprés guerre, où cette personne vécut.je recherche toute personne qui aurait pu croiser cet "abale Lek", ami de captivité de mon grand oncle Simon.Simon malheureusement n'eut pas de descendance, son épouse Léa, juive roumaine ayant perdu son 1er mari et son seul enfant et qui revint stérile de son séjour dans un camp situé en Lettonie ou Estonie. Ainsi de retrouver la descendance éventuelle de cet "Abale Lek" serait comme retrouver un membre de la famille de mon grand oncle.
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Répondue le 21/06/2019
Bonjour,
Je fais actuellement sur des familles juives de Caen et j'ai découvert que votre grand oncle Simon Sigal était étudiant à Caen (information sur le site du Mémorial de la Shoah). Pouvez-vous me donner les références de son témoignage audiovisuel ?
Cordialement
*** RECHERCHE DE PARENTS Déposée le 21/05/2018
JE RECHERCHE MA FAMILLE DE HAUTE RENTGEN SCHUMANN-BELISSON-HEINRICH QUI SE SONT CACHES LEUR JUDAICITE PAR DE FAUX NOMS ET PRENOMS BERTHE KOHN VIVAIT A PARIS DANS LES ANNEES 30ET SE MARIA EN 05 1933 AVEC JOHANN HEINRICH
MERCI DE VOTRE AIDE
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*** famille de cet enfant Déposée le 01/05/2018
Je cherche la famille de cet enfant.
( c'est un garçon )
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*** Tout une famille décimée.... ZIMMERMANN Déposée le 27/02/2018
Cette photo a été retrouvé dernièrement, 80 ans plus tard. Je sais que la petite fille en bas à droite est ma mère, probablement à sa droite, ma tante Claire et juste à côté mon oncle qui deviendra plus tard mon comptable. Il y a aussi sur cette photo mes grands parents mais je ne sais pas les reconnaître. Ils ont été gazés à Auschwitz, ainsi qu'Esther, une de mes tantes. Ils ont quitté Drancy en 3 convois différents : N° 33, 48 et 63;
Pour le restant de la famille sur cette photo, je ne sais pas ce qu'ils sont devenus. Si quelqu'un peut aider...
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Répondue le 06/03/2018
Bonjour,
Répondue le 08/03/2018
Je lis dans le répertoire du Mémorial de la Déportation des Juifs de France ce qui suit :
Convoi 33 :
Brana Zimmermann née Melstein en 01/01/1893 à Achilev – 2 rue de la Roquette - Paris 11ème
Convoi 48
Esther Zimmermann née le 24/08/1921 à Paris - 2 rue de la Roquette - Paris 11ème.
Convoi 63
Aron Zimmermann né 01/04/1891 à Mogilev – sanatorium. Demeurant à Brevannes (Seine et Oise).
Aron est le seul du même nom à avoir été déporté dans le convoi 63. Etait-il de la même famille ? Il vivait dans un sanatorium et non rue de la Roquette.
Peut-être pourriez-vous consulter le Mémorial de la Shoah à Paris.
Avaient-ils demandé la nationalité française ? Dans ce cas, faire une demande au Service Central d'Etat Civil.
Si c'est le cas, l'identité des parents devrait être indiquée et vous pourriez alors rechercher d'autres membres de la famille portant le même nom (frère, soeur etc....).
Bonne recherche.
Cordialement,
Bonjour,
Répondue le 12/03/2018
Il y a aussi les archives de l'OFPRA sachant que si vos ancêtres avaient un certificat de réfugié, une carte de réfugié ou d'apatride, un passeport Nansen ou un titre de voyage, il a certainement un dossier dans les archives de l'OFPRA qui contiennent les dossiers de tous les étrangers demandeurs d'asile et réfugiés et apatrides depuis 1924.
Cordialement,
JD
Bonjour, Je suis le petit fils, né en 1947.
Cela fait longtemps que je fais des recherches et bien sûr au mémorial à Paris, à Yad Vashem, etc...
Ils sont bien de la même famille et habitaient au 2 rue de la Roquette à Paris. Mon grand père, pulmonaire comme on disait à l'époque, s'est fait prendre au sanatorium où il était soigné.
Mes recherches ont surtout porté sur ma tante Esther. Jeune, belle et pourtant non immatriculée à Auschwitz et probablement gazée à l'arrivée. A ma connaissance, la famille avait fui la révolution de 1917 en Russie et je crois qu'ils avaient acquit la nationalité française. Mes recherches dans les villes de naissance de mes grands parents n'ont rien donné.
*** Qui a connu ou rencontré cet homme ? Déposée le 05/07/2017
Nous recherchons des témoignages d’enfants qui auraient bénéficié de l’aide du pasteur Paul Zbinden entre 1940 et 1944, et qui ont été acheminés par lui, en train, de Paris vers le Sud de la France. Selon nos informations, les enfants juifs avaient pour destination la frontière espagnole, Nîmes ou Marseille, ou étaient cachés dans des familles.
M. Paul Zbinden, qui avait 40-45 ans à ce moment, était domicilié à St-Jean du Gard , dans les Cévennes.
Voilà ce que raconte une des filles de M. Zbinden :
« Mon père a fait de fréquents voyages à Paris (où il était contact avec un prêtre) d’où il ramenait des petits groupes d’enfants juifs vers le sud, en zone libre, peut-être vers la frontière espagnole.
Lorsque des soldats allemands contrôlaient et fouillaient le train, les soldats se divisaient en deux groupes l’un partant de la tête et l‘autre de la queue du train pour se rencontrer au milieu, puis ils faisaient demi-tour, chacun de leur côté.
Pendant la fouille, le train était arrêté et on cachait les enfants sous le train à ce moment-là. Quand les soldats avaient le dos tourné, on ramenait ensuite les enfants dans le train. »
Toute personne ayant rencontré (ou ayant été sauvée) par le pasteur Paul Zbinden est priée de prendre contact avec nous au plus vite.
Merci de regarder attentivement ces photos de M. Paul Zbinden, prises à cette époque.
[répondre]
Répondue le 23/10/2017
Monsieur,
Le pasteur Zbinden a-t-il pu être en contact avec Frère Roger-pasteur Roger Schutz (communauté de Taizé, Saône et Loire, zone libre) et les enfants sauvés ont-ils pu trouver refuge également à Avignon ? Merci pour vos réponses,
Bien à vous,
*** Cherche nom famille ou arrondissement de Paris Déposée le 10/09/2017
Ce magasin se trouvait à Paris, j'ignore l'arrondissement.
En haut, il y a écrit bonneterie ( les lettres sont légèrement lisibles ).
Peut-être qu'une personne connaît le nom de famille de l'une de ces femmes ou l'arrondissement.
Cordialement
[répondre]
*** Qui est cette femme ? Déposée le 09/01/2017
Bonjour, je cherche des renseignements sur cette femme, son nom, son prénom etc.
Je sais qu'elle habitait à Paris, mais j'ignore l'arrondissement et qu'elle avait un fils, elle travaillait dans la fourrure.
La photo est datée ( 1936 ).
A titre d'information, je ne sais rien d'elle et peu de son fils, je possède que de faux documents, c'est pour cela que je recherche son identité avant 1939.
Pour tous renseignements, voici mon adresse mail:
gsln@hotmail.fr
Cordialement
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Répondue le 11/01/2017
Bonjour,
Répondue le 19/01/2017
Donc elle est la mère du petit garçon dont la photo figure plus bas dans la page.
Savez-vous s'il existait un syndicat de la fourrure avant la guerre, qui pourrait peut-être vous renseigner.
Cordialement,
Bonjour,
Répondue le 20/01/2017
Je vais aller voir au Mémorial et reviendrai vers vous.
Cordialement
Bonjour,
Répondue le 11/01/2017
Je me suis rendue au Mémorial et j'ai effectué une recherche dans la photothèque qui rassemble les portraits des personnes déportées vers les camps.
J'ai identifé cinq personnes dont les photographies pourraient ressembler à celle du petit garçon que vous recherchez.
- Léon Puterman - déporté par le convoi N°20. Habitait 157 rue St-Martin - Paris.
- Léon Klein - déporté par le convoi N°35. Habitait 10/12 rue des Deux Ponts - Paris.
- Léon Klein - déporté par le convoi N°45. Photo à vérifier car c'est la même que celle de l'autre Léon Klein.
- Jacques Wisniak - déporté par le convoi N°53. Habitait 21 passage Dumas- Paris.
- Jacques Lambert - déporté par le convoi N°62. Habitait 284 bd St Germain - Paris.
Ces photos montrent la même inclinaison du visage, le sourire, la souplesse des cheveux, la raie sur le côté gauche, la couleur la plupart du temps sachant que pour le dernier qui semble plus âgé que les autres, les cheveux seraient plutôt châtains que blonds, mais les cheveux des enfants changent au cours du temps.
La piste "syndicat de la fourrure" est à creuser y compris avec un faux nom car la jeune femme a peut-être possédé des faux papiers pour se protéger.
Dans tous les cas, il faut vous adresser au service photothèque du Mémorial, 17 rue Geoffroy l'Asnier 75004 Paris.
Cordialement,
Bonsoir,
Répondue le 20/01/2017
Je pense qu'elle est la mère de cet enfant, mais je n'en suis pas sûre !
C'est possible qu'il y avait un syndicat de fourrure avant la guerre, mais je ne peux faire aucune recherche si je ne connais pas son nom de famille , c'est pour cela que j'aie mis les photos sur le site.
La photo de l'enfant est au mémorial de la Shoah de Paris (avec environ deux ans de plus).
Si vous tombez sur cette photo, pourriez-vous relever le numéro ainsi que le nom .
Un grand merci à vous
Cordialement
Bonsoir, je vous remercie pour vos réponses.
Je vais monter sur Paris au mois de mars, je passerai au Mémorial.
Encore un grand merci
Cordialement
*** noms des personnes internées Déposée le 14/01/2017
j'aimerais connaître le nom des personnes internées hommes et femmes au camp de SEILHAN
au nombre de 506 pour fait de collaboration
merci par avance
[répondre]
*** Nom de famille de cet enfant Déposée le 26/10/2014
Qui peut me donner des renseignements sur cet enfant, je ne connais pas son nom de famille ni son prénom, je possède qu'une photo.
Il habitait avec ses parents à Paris avant la guerre de 39/45.
Sa mère a fait l'école de fourrure du 21 rue des tournelles Paris.
[répondre]
Répondue le 11/12/2016
Bonjour,
Répondue le 14/12/2016
en faisant une recherche pour un livre sur google je suis tomber sur cette photo il me semble que d'après mes informations cet enfant s'appelle Simon Grimbert.
Au revoir
Bonjour,
Répondue le 17/12/2016
Que savez-vous de sa mère ? (nom, prénom etc...)
Cordialement
Bonjour, Je suis documentariste et je travaille actuellement sur un drame perpétré par les nazis. J'aimerais entrer en contact avec vous. Vous avez peut-être avec la photo de cet enfant la moitié de la clé d'une des pages. Et moi je pourrais peut-être vous donner l'autre moitié. Merci.Ceci est très IMPORTANT.
Répondue le 21/12/2016
Bonjour,
Répondue le 21/12/2016
Je ne connais pas le nom de sa mère, mais je sais qu'elle était fourreur et qu'elle habitait à Paris.
Cordialement
Bonjour,
Répondue le 22/12/2016
Merci à tous pour vos réponses,
Je vais faire des recherches sur l'enfant au nom de simon grimbert et je vous dirais s'il s'agit du même.
Je possède des documents , mais aussi bizarre que cela puisse paraître son faux.
Ce qui rend mes recherches difficiles
Cordialement
Bonjour, c'est encore moi, la documentariste, Cette question s'adresse à la personne qui dit connaître le nom de ce petit garçon. Comment le connaissez-vous ce nom: L'avez-vous connu lui? Si oui quand? Avant la guerre? Après la guerre?
Répondue le 04/01/2017
Bonjour,
Pour toutes les personnes qui ont des renseignements sur cet enfant ou sur sa mère, vous pouvez me contacter par E-mail à l'adresse suivante: gsln@hotmail.fr
Cordialement
*** Maria Lani (Maria Abramowicz) Déposée le 14/10/2015
Je recherche une article sur Maria Lani et son mari Maximilian Abramowizc. Une cinquantaine des artistes ont fait son portrait a Paris en 1928 et 1929. Mais on n'a pas pu retrouver sa trace a Paris entre 1930 et 1940, ni entre 1947 (quand elle etait de retour de New York) et sa mort a Paris en 1954.Le meme pour son mari, auteur des scenarios des films et un biographie de Utrillo. Et est qu'il y a plus des details de l'aide donne par Aristides de Sousa Mendes en Juin 1940 et de son depart pour Portugal (et plus tard a New York)?
[répondre]
*** villa juste Déposée le 30/05/2013
mon pere barnabe baron ne le 11/03/1911 a er-rahel(oran) est decede en 1953 alors que je n avais que 3 ans a participe a la resistance dans les ftp et aurait cache une ou des personnes juives villa juste paris 15 ou il residait a ma naissance il habitait avec ma mere 9 rue des bergers paris 15 si une personne se souvient de lui j aimerai quelle me renseigne sur lui son action sa personnalite car ma mere m a tres peu parle de lui d ou un gros manque d avance merci
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*** Yvonne et Marcel Trochel - Paris Déposée le 22/06/2011
Recherche informations sur les personnes sauvées par Yvonne et Marcel Trochel, (Médaille des Justes en 1993)
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