Soutenez le travail de l'AJPN
  Recherche de personne, de lieu : affiche la page   Recherche type Google : propose des pages  
 
 
Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France
1 annonces de recherche
39/45 en France (WWII)
base des données identifiées par AJPN.org
Nouveaux articles
Une page au hasard
38080 noms de commune
95 départements et l'étranger
1230 lieux d'internement
744 lieux de sauvetage
33 organisations de sauvetage
4342 Justes de France
1072 résistants juifs
15986 personnes sauvées, cachées
Expositions pédagogiques AJPN Exposition pédagogique 2e Guerre mondiale : la guerre, l'occupation, la vie quotidienne, les lois antisémites, les rafles, les justes, les enfants cachés, les rescapés, les témoins L'enfant cachée
Das versteckte Kind

Chronologie 1905/1945
En France dans les communes
Les Justes parmi les Nations
Républicains espagnols
Tsiganes français en 1939-1945
Les lieux d'internement
Les sauvetages en France
Bibliothèque : 1386 ouvrages
Cartographie
Glossaire
Plan du site
Signaler un problème technique
Imprimer cette page
Orne

Région :
Normandie
Département :
Orne

Préfets :
Marcel Amade
(02/11/1936 - 16/11/1940) Préfet de l'Orne
Georges Bernard
(16/11/1940 - 16/08/1944) Georges Albert Maurice Bernard (1890 - 1953)
René Bouffet
(1940 - 08/1942) Préfet de la Seine-Inférieure et à partir de 1941 Préfet régional de la région de Rouen (Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Inférieure (= Seine-Maritime). Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
André Parmentier
(1942 - 19/08/1944) André Auguste Parmentier, Préfet régional de la région de Rouen (Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Inférieure (= Seine-Maritime). Arrêté et révoqué par la Résistance, il est relevé de sa condamnation pour faits de Résistance (1896-1991)
Louis Dramard
(1944 - 1944) Louis Marie Charles Dramard, Préfet régional de la région de Rouen (Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Inférieure (= Seine-Maritime)
(09/1944 - 09/1946) sous-préfet d'Argentan, Paul Adam était professeur à Flers, chef de groupe OCM et responsable cantonal FFI.
Robert Lecuyer
(16/08/1944 - 25/05/1946) Préfet de l'Orne
Henri Bourdeau de Fontenay
(29/08/1944 - 31/03/1946) Commissaire régional de la République de la région de Rouen (Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Inférieure (= Seine-Maritime) (1900-1969)

À lire, à voir…

M. Dandel M. Dandel
G. Duboc
A. Kitts
E. Lapersonne
Les Victimes Civiles en Haute Normandie

ACHETER EN LIGNE

Henriette Asséo Henriette Asséo
Les Tsiganes. Une destinée européenne

ACHETER EN LIGNE

 AACCE AACCE
Les Juifs ont résisté en France (1940-1945)

ACHETER EN LIGNE

Katy Hazan Katy Hazan
Les orphelins de la Shoah - Les maisons de l'espoir (1944-1960)

ACHETER EN LIGNE

Georges Loinger Georges Loinger
Frida Wattenberg
Jean Brauman
Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945

ACHETER EN LIGNE

 Collectif Collectif
Jean-Pierre Guéno
Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

ACHETER EN LIGNE

Pierre Copernik Pierre Copernik
Abcdaire de la résistance

ACHETER EN LIGNE

Katy Hazan Katy Hazan
Le sauvetage des enfants juifs pendant l'Occupation, dans les maisons de l'OSE 1938-1945

ACHETER EN LIGNE

Paul Schaffer Paul Schaffer
Als ich in Auschwitz war - Bericht eines Überlebenden (Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945 ; en langue allemande)

ACHETER EN LIGNE

Stéphane Simonnet Stéphane Simonnet
Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944 - 8 mai 1945

ACHETER EN LIGNE

Cédric Gruat Cédric Gruat
Cécile Leblanc
Amis des Juifs

ACHETER EN LIGNE

Marie-Christine Hubert Marie-Christine Hubert
Emmanuel Filhol
Les Tsiganes en France - Un sort à part (1939-1946)

ACHETER EN LIGNE

 AERI AERI
La résistance dans l'Orne

ACHETER EN LIGNE

Charles Zajde Charles Zajde
En mémoire des Justes

ACHETER EN LIGNE

Paul Schaffer Paul Schaffer
Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945

ACHETER EN LIGNE

Yves Lecouturier Yves Lecouturier
Shoah en Normandie - 1940-1944

ACHETER EN LIGNE

Loïc Dauvillier Loïc Dauvillier
Marc Lizano
Greg Salsedo
L'enfant cachée

ACHETER EN LIGNE

 Fondation pour la Mémoire de la Déportation Fondation pour la Mémoire de la Déportation
Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945 - 4 volumes

ACHETER EN LIGNE

 Hector Feliciano Hector Feliciano
Le musée disparu : Enquête sur le pillage des oeuvres d'art françaises

ACHETER EN LIGNE

Georges Loinger Georges Loinger
Les Résistances juives pendant l'occupation

ACHETER EN LIGNE
[Ajouter un ouvrage]

Texte pour ecartement lateral

Passais en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 61350
cf. Passais-la-Conception Gentilé : Passagiens, Passagiennes

Nom depuis 2015 : Passais-Villages
Regroupe : L'Épinay-le-Comte, Passais, Saint-Siméon

- Orne
[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo]


Voir l'histoire du département de l'Orne
Histoire

La commune des Passagiens

Passais est un village de l'Orne.

Lors du recensement de 1936, la commune comptait 1 309 habitants et 1 289 habitants en 1946.

28/02/2014

[Compléter l'article]

L'Occupation à Passais

Au début de la guerre, Passais était un village paisible concentré sur la production du cidre et de l’alcool du calvados que les paysans extrayaient avec des alambics ambulants ou même de fortune quand ils étaient de faibles tailles.

La région était réputée pour ses produits laitiers, son beurre, sa crème, ses fromages et en particulier ses camemberts. Les connaisseurs et les gourmets parisiens savaient déjà, avant la guerre où aller s’isoler pour déguster des repas gastronomiques. L’auberge du Cheval Blanc tenue par la Famille Arnault à Passais était réputée à cent lieues à la ronde.

Lorsque les allemands déferlèrent sur la France au mois de juin 1940, ils envahirent Passais et y installèrent une petite garnison. C’était l’été, les enfants en raison des vacances n’allaient plus à l’école, alors, les allemands réquisitionnèrent les deux écoles des garçons et des filles pour établir leur cantonnement et leur cantine.

Pour la rentrée scolaire d’octobre 1940, les Allemands évacuèrent l’école des filles et se concentrèrent uniquement à l’école des garçons. On regroupa donc tous les enfants à l’école des filles mais il n’était pas question de mélanger les filles et les garçons. On partagea les quatre classes entre les garçons et les filles ainsi les 120 filles de Passais durent s’entasser en deux classes.

Pour la rentrée de 1941-1942 les Allemands évacuèrent également l’école des garçons, ceci permit à tous de revenir à une situation plus normale. Mais en échange de la libération de l’école de garçons située au bout du village, sur la route de Mantilly et dirigée par Monsieur et Madame Graffin, les Allemands imposèrent à la population de loger une centaine de soldats chez l’habitant. Ils réquisitionnèrent des chambres dans de nombreuses maisons de Passais . Ce fut le cas chez Robert Betton, l’épicerie du Bourg. Il y’eut quatre soldats qui logèrent dans les chambres au-dessus de sa boutique.

Willis Baltman, que les autres appelaient Molotov en raison de sa petite moustache qui le faisait ressembler au ministre des affaires étrangères russe. Il était originaire des Sudètes et maîtrisait parfaitement le français en plus des quatre autres, dont l’anglais, le tchèque, le polonais, l’italien, et bien sur l‘allemand. C’est lui qui rédigeait les rapports de ce qui se passait à Passais et, à ce qu’il prétendait les faisait parvenir directement à Hitler.

Yoren, Un ancien de la garde d’Hitler, un homme d’une trentaine d’années, qui ne parlait pas le français et dont tout le monde se méfiait.

Henry, l’interprète officiel du détachement, un ancien des troupes de SS, qui avait fait la campagne de Pologne et participé à la prise de l’aéroport de Varsovie. Les autres le craignaient et le considéraient comme très dangereux.

Enfin Walter, un bon bougre de cultivateur allemand qui se demandait ce qu’il faisait là et qui s’inquiétait beaucoup plus de ce qui se passait chez lui, que de la situation à Passais.

Robert avait 19 ans en 1940. Il se souvient parfaitement des péripéties qui se sont déroulées dans le bourg. En particulier il se remémore l’incident ou Henry s’étant aperçu que le poilu du monument aux morts piétinait un casque allemand à pointe a exigé qu’il soit détruit, car il considérait que c’était une insulte pour l’Allemagne. C’est Molotov qui a réussi à l’en dissuader, sur les suppliques de Robert lui faisant remarquer que la population était très attachée au monument aux morts de la grande guerre. Robert, à la fois terrorisé et inconscient avait établi des relations amicales avec Molotov ce qui lui avait permis d’intervenir pour amadouer la colère des allemands lors de plusieurs incidents.

C’est ainsi qu’une autre fois, chez le coiffeur Fouillol, Henry qui se faisait faire un shampoing, et se vantait qu’ils allaient bientôt envahir l’Angleterre, se fit dire par Fouillol : qu’avant d’atteindre les cotes anglaises "Tu feras glou glou !".

C’est encore Molotov, qui sur l’intervention de Robert, fit que le coiffeur ne fut pas arrêté pour démoralisation de l’armée allemande, en prétextant que c‘était une plaisanterie sans importance, et, ce que le coiffeur avait voulu dire, était : "c’est que si l’on tombe à l’eau, on boit la tasse !".

Un autre fois, lors d’une séance de réquisition des chevaux de Passais, tous les paysans étaient sommés d’amener chacun un cheval sur la place centrale devant l’église. Un officier, vétérinaire Allemand, examinait chaque cheval et décidait d’un coup de baguette, s’il était retenu ou pas. Robert, était assis avec Pierre Ory, le commis du Receveur de la régie de Passais, sur un muret en face du monument aux morts, tous deux observant cette scène singulière. Soudain Albert Delattre, le Receveur des contributions indirectes, rejoint son commis et lui demande d’aller poster quelques lettres à la poste située juste en face, de l’autre coté de la place. D’un air décontracté Pierre Ory traverse au milieu des chevaux qui encombrent la Place et en arrivant à la hauteur de l’Officier Allemand, il reçoit une paire de claques, qui le désarçonne et manque de le mettre à terre. Le vétérinaire avait pris l’action de Pierre pour une provocation et demandait des sanctions.

C’est encore Robert, qui, grâce à ses relations privilégiées avec Molotov, expliqua que Pierre Ory, sans aucune arrière pensée, avait pris le chemin le plus court pour se rendre à la Poste.

Pierre Courteille était le seul marchand de chevaux à Passais, aussi, les Allemands l’obligèrent-il à collaborer dans les réquisitions de chevaux. Il simula une bonne volonté en rédigeant les convocations en français à tous les paysans du village les astreignant de conduire un cheval par ferme pour l’inspection. Les réquisitions effectuées, après les sélections, les Allemands le contraignirent à prendre en charge le gardiennage de ces animaux dans l’attente d’une expédition vers l’Allemagne. La plupart du temps les chevaux disparaissaient pendant la nuit, ce qui obligeait les Allemands à réitérer la séance de réquisition et repayer une deuxième fois le prix de ces bêtes de trait.

La population resta stoïque à cette occupation, et manifesta sa résistance passive en ne modifiant pas l’horaire de l’horloge du cloché de l’église qui resta pendant toute la guerre à l’heure anglaise au lieu de l’heure allemande imposée partout en France par les troupes d’occupation. De plus, le monument aux morts de la guerre 14-18 représentant un officier français piétinant un casque allemand à pointe n’a jamais été détruit malgré l’insistance des allemands stationnés à Passais qui se considéraient offensés par cette statue.

Un des premiers actes de résistance de la population de Passais, fut accompli par deux jeunes femmes Marie-Louise et Madeleine Richard* qui, en se promenant, rencontrèrent deux soldats français au bord d’un chemin fuyant pendant la débâcle, les troupes allemandes et qui épuisés voulaient se rendre aux Allemands qui avaient établi un camp de prisonniers à Saint-Fraimbault. Elles les en dissuadèrent en leur promettant de leur apporter des vivres et des vêtements civils s‘ils se cachaient près de la ferme de la Cité. Sitôt dit sitôt fait, elles se précipitèrent chez leurs parents, Lucienne* et Gustave Richard*, et empruntèrent pour la duré de la guerre des costumes et des chemises du père Gustave Richard* et du frère Léon qui, lui, se trouvait encore mobilisé quelque part dans la pagaille des troupes françaises en retraite. Revêtus de leur habits civils, les deux soldats furent invités à se restaurer à la maison des Richard*. Puis les deux jeunes femmes proposèrent de leur prêter leurs bicyclettes pour qu’ils puissent aller jusqu’à la gare de Torchamp prendre le train devant les conduire vers le Sud afin d’y retrouver leur domicile familial. Le lendemain après leur départ les deux jeunes femmes retournèrent dans le champ où elles avaient rencontré les deux soldats et... stupeur, ils avaient abandonné leurs vêtements militaires auprès d’un arbre, avec leurs papiers d’identités à l’intérieur. Madeleine Richard* mit de coté les papiers d’identités avec l’intention de les leurs faire parvenir dans l’avenir et brûla tous les vêtements au fond du jardin.

Cet acte de résistance devait permettre quelques années plus tard au frère aîné de Marie-Louise et Madeleine Richard*, Léon de se réfugier dans le sud de la France en Zone libre chez l’un des soldats secourus, dont l’adresse était mentionnée sur les papiers d’identités abandonnés, lorsqu’il fut recherché par les gendarmes dans la procédure du STO (Service du Travail Obligatoire).

Il y’avait une brigade de gendarmerie, à Passais, qui dépendait de Domfront. Elle était constituée d’un brigadier et de 4 gendarmes. Un officier Allemand était détaché de la Kommandantur de Domfront, auprès de Passais à chaque fois qu’une action de recherche d’individus était décidée par les autorités allemandes. La veille au soir, il y’avait toujours un gendarme qui venait prévenir l’entourage qu’une action d’arrestation aurait lieu le lendemain. Roger Guesnet, du village Fouillol au Grand Bois, sur la route de Saint-Fraimbault, peut en témoigner lui, qui se cachait de ferme en ferme à chaque descente des gendarmes.

A l’arrivée des troupes américaines à Passais, il fut le premier à s’engager et à partir avec les camions américains pour la durée de la guerre.

La résistance à Passais était très discrète, mais, après la guerre, on découvrit qu’elle avait été beaucoup plus efficace qu’il n’y paraissait. Maître Fautrat, notaire à Saint-Fraimbault, en était l’un des responsables. C’est sous sa direction que les fausses cartes d’identités étaient réalisées et que les réseaux de résistances se procuraient de fausses cartes d’alimentation. La secrétaire de mairie, de Passais, Mademoiselle Paris, était en contact avec le notaire qui lui fournissait surtout des tickets de sucre, le seul produit qui était introuvable chez les paysans de la région.

Les deux seules voitures de Passais, que l’on pouvait voir circuler, étaient celle du Docteur Hamon et celle du transporteur de Saint-Mars-d'Égrenne. Comme il n’y avait pas d’essence pour les civils, le Docteur Hamon avait installé sur sa voiture deux Gazogènes noirs et on pouvait la reconnaître à dix lieues à la ronde.

01/03/2014
Lien : Charles Zajde

[Compléter l'article]

Les camps et les lieux d'internement de l'Orne

Camp de Courteille 61000 Alençon
Camp de Damigny 61250 Damigny
Carrouges 61320 Carrouges
Centre Athis-de-l'Orne 61430 Athis-de-l'Orne
Centre Domfront 61700 Domfront
Frontstalag 201 Alençon 61000 Alençon
L'Épinay-le-Comte 61350 L'Épinay-le-Comte
Prison d'Argentan 61200 Argentan

Les lieux de sauvetage de l'Orne

Congrégation franciscaine de Notre-Dame de Pitié 61700 Perrou
Pensionnat Saint-Vincent-de-Paul 61100 Flers

Maires de Passais

Joseph Hamon   (1921 - 1965) Historien. Il succède à son père, maire de Passais, en 1921.
     Secrétaires de mairie
           - Mademoiselle Paris

Cultes à Passais

Père Goin   

Les 42 Justes parmi les Nations de l'Orne



Familles réfugiées à Passais [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.


Familles arrêtées (Passais) [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes arrêtées ou exécutées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, les circonstances de l'arrestation et la date de l'arrestation, si possible.


Chronologie [Ajouter]
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

Comment ajouter le votre. En savoir plus…

Pas de travaux actuellement sur ce sujet… Vous pouvez mettre le votre en ligne sur le site ajpn.org.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Passais sur Wikipedia 
2 Les Szpajzer à Champlost ( )

Annonces de recherche [Déposer une annonce]



Page réalisée avec le soutien de  Lhoumeau

[Signaler que le contenu de cet article vous semble erroné]




Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org
 * Juste parmi les Nations
 

Justes parmi les Nations - Righteous among the Nations - De Gerechten mank de Völker - Giusti tra le nazioni - Drept între popoare - Gerechter unter den Völkern - Sprawiedliwy wsród Narodów Swiata - Rechtvaardige onder de Volkeren - Justuloj inter la popoloj - Rättfärdig bland folken - Spravodlivý medzi národmi - Spravedlivý mezi národy - Vanhurskaat kansakuntien joukossa - Világ Igaza - Justos entre as nações - Justos entre las Naciones - Justos entre les Nacions
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024