(08/08/1940 - 05/08/1943) Secrétaire général : Marcel Delpeyrou
Directeur de cabinet : Louis Amade
Alexandre Angeli
(1940 - 1944) Alexandre Benoît Joseph Angeli, Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1893-1962)
(24/01/1944 - 05/1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire). Résistant, dénoncé par la Milice, il est arrêté par la Gestapo et déporté à Neuengamme (1899-1945).
André Boutemy
(1944 - 1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1905-1959)
Philippe Frantz
(23/06/1944 - 01/08/1944) Préfet de l’Isère, favorable aux idées nationale-socialistes, il est abattu par la Résistance le 1er août 1944 (1911-1944)
Albert Reynier
(22/08/1944 - 02/02/1949) Préfet de l'Isère
Yves Farge
(1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1899-1953)
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice et se trouve coupée en deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.
La ligne de démarcation, qui entre en vigueur trois jours plus tard, traverse treize départements : Basses-Pyrénées (Pyrénées-Atlantiques), Landes, Gironde, Dordogne, Charente, Vienne, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Cher, Allier, Saône-et-Loire, Jura, Ain.
En Isère, département refuge, l'aide aux personnes pourchassées fut particulièrement importante, en raison du vaste territoire qui permettait des milliers de voies de fuite, d'une présence forte de la Résistance et à de nombreux fonctionnaires, à l'instar du préfet, Raoul Didkowski d'août 1940 à la date de sa révocation par Vichy en août 1943, suivie de son arrestation par les autorités allemandes et de sa déportation en Allemagne en 1944.
La rafle du 26 août 1942
Une circulaire émanant du Secrétariat général à la police prévient les préfets de zone libre que les Juifs étrangers entrés en France après 1936 "seront transportés en zone occupée avant le 15 septembre".
Le 26 août 1942, en Isère comme ailleurs en zone libre, toutes les forces de police et de gendarmerie sont mobilisées afin de procéder aux arrestations. Au matin, des dizaines de Juifs sont arrêtés à Grenoble, à Pont-en-Royans, Valbonnais, Voiron ou encore Pont-de-Chéruy, Décines et Vienne.
595 Juifs arrêtés dans la région, dont 98 arrêtés en Isère, sont envoyés à Drancy avant d'être déportés à Auschwitz. Seules 6 rentreront de déportation.
A la Tour-du-Pin, 40 personnes sont arrêtées.
Les rafles de l’été 1942 sont massivement condamnées par la population et constituent l’un des points de rupture entre le régime de Vichy et les Français.
Les rafles et les arrestations de septembre et octobre 1942
Durant les mois de septembre et d'octobre 1942 les opérations visant à arrêter les Juifs se poursuivent : le 7 octobre, trois personnes vivant à Grenoble sont arrêtées et transférées au camp de Rivesaltes.
En novembre, plusieurs autres personnes sont internées aux camps de Gurs et de Rivesaltes.
10 Juifs domiciliés dans le département sont arrêtés, ou refoulés par les autorités suisses, alors qu'ils tentaient de passer la frontière.
L'occupation de la zone libre en novembre 1942
L'Isère se trouve occupé dans sa plus grande partie par les troupes italiennes, l'armée allemande s'établit quant à elle au nord de Vienne.
La rafle de février 1943
Vichy demande au préfet de l'Isère un contingent de 25 Juifs en février 1943. L'état-major italien, qui n'applique pas les directives antisémites, contraint les autorités à libérer les personnes arrêtées à Grenoble.
La rafle de février 1943 sera la dernière orchestrée par le gouvernement de Vichy en Isère.
L'arrivée en septembre 1943 des Allemands va ouvrir une autre période de persécutions, d'autant que pour sa part l’administration française continuera à appliquer la législation antisémite jusqu’à la Libération.
Familles réfugiées à La Tour-du-Pin[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
3 Familles arrêtées (La Tour-du-Pin)[Compléter]
10/05/1944Famille Bloch - Émile, né à Nîmes le 9 août 1872, colonel d'artillerie et officier de la Légion d'honneur, et son épouse, Marguerite, née Levy à Marseille le 28 novembre 1880, étaient réfugiés de Paris à La Tour-du-Pin.Arrêtés parce que Juifs, ils sont déportés sans retour par le convoi n° 75, le 30 mai 1944, de Drancy vers Auschwitz, Déportation : 30/05/1944 convoi no 75
10/05/1944Famille de Jong - Isidore, né à Amsterdam en 1880, diamantaire, son épouse, Jeanne née Gros à Lille en 1896, et leur fille Jacqueline, née le 16 janvier 1921 à Paris, étudiante, habitaient Paris. Réfugiés à La Tour-du-Pin, ils sont arrêtés le 10 mai 1944 parce que Juifs et déportés sans retour le 30 mai 1944 par le convoi n° 75 de Drancy vers Auschwitz. Déportation : 30/05/1944 convoi no 75
10/05/1944Famille Souvy - Marius, militant communiste, est commandant du 4e bataillon des FTP implanté à la Tour du Pin. Il est arrêté le 10 mai 1944 et sera déporté sans retour.
30/11/1940 -En Isère, 30 militants communistes sont arrêtés et internés au Fort Barraux. 25/08/1942 -Rafle des Juifs étrangers effectuée par la police et la gendarmerie française dans la nuit du 25 au 26 août. 26/08/1942 -Rafle de Juifs étrangers en Isère. Toutes les forces de police et de gendarmerie sont mobilisées. Au matin, des dizaines de Juifs sont arrêtés à Grenoble, à Pont-en-Royans, Valbonnais, Voiron ou encore Pont-de-Chéruy, Décines et Vienne. Après “criblage”, plus d’une centaine d’entre eux est envoyée à la caserne de Vénissieux, où sont regroupés les Juifs de la région. Ceux-ci sont ensuite envoyés à Drancy. Le 2 septembre 1942, la quasi-totalité de ces personnes part à destination d’Auschwitz. Seules 6 rentreront de déportation. 11/11/1942 -Les Allemands et les Italiens se partagent la zone dite "libre". 12/11/1942 -Arrivée des premiers détachements italiens à Grenoble et des Allemands dans le nord du département. 04/03/1943 -Le général italien De Castiglioni, commandant en chef des troupes d'occupation italiennes s'oppose à la déportation de Juifs par le préfet de l'Isère. 29/06/1943 -Rafle de la Gestapo à la Maison des Roches au Chambon-sur-Lignon. Dix-huit pensionnaires et le directeur, Daniel Trocmé*, sont arrêtés. Ils seront déportés : cinq jeunes juifs mourront à Auschwitz et Daniel Trocmé à Maïdanek. 09/09/1943 -Début de l'occupation allemande dans l'Isère. 01/1944 -Janvier-mars 1944 : Section anti-juive de la police allemande dans l'Isère. 23/04/1944 -Du 23 au 25 avril, la Milice attaque les positions de la résistance française dans le Vercors. 21/07/1944 -Du 21 au 23 juillet, les Allemands prennent d'assaut le maquis du Vercors. 08/05/1945 -L'Allemagne capitule.
Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]
1 La Tour-du-Pin sur
Wikipedia 2 Les réfugiés espagnols dans le département de l’Isère 1936-1939 (Mémoire de Master 1 « Sciences humaines et sociales »
Année universitaire 2007-2008
Mention : Histoire - Histoire de l’art Spécialité : Relations et échanges culturels internationaux
sous la direction de Mme Marie-Anne MATARD-BONUCCI )
3 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" ) 4 Le site du poète Pierre Emmanuel (Le site officiel du poète Pierre Emmanuel. Vous y trouverez aussi des pages sur sa vie et son action à Dieulefit durant la guerre, à Beauvallon, puis à la Roseraie. ) 5 Guy Sanglerat, ancien membre du Coq Enchaîné (Le Coq Enchaîné était un réseau de résistance de la région qui pendant l'occupation allemande rassemblait des syndicalistes, des socialistes et des radicaux de la mouvance d’Édouard Herriot. Membre du réseau, Guy Sanglerat publie ses souvenirs.. )
6 Le Coq enchaîné (Le Coq enchaîné : un journal clandestin sous l'occupation allemande. Le premier numéro fait son apparition en mars 1942. Les membres du Coq Enchaîné mèneront aussi des actions de résistance. Il a compté jusqu'à 400 membres. Le réseau sera décimé en 1943. Guy Sanglerat raconte ... )
7 Les archives du conseil général de Savoie (La liste des 168 "travailleurs israëlites" en partance de Ruffieux, établie le 24 Août 1942. ) 8 Là où coule le Gier (La guerre, énorme chaos bouleversant les vies. Tel est le décor dans lequel évoluent René et Aima. De leur jeunesse à leurs combats, l'auteur nous invite à les suivre dans cette aventure où chacun fera preuve d'un courage incroyable. Ce roman, basé sur des faits réels, nous emmène de la Vallée du Gier dans la Loire à Clermont-Ferrand et nous fait traverser certains camps de concentration en Allemagne en suivant le parcours de deux jeunes gens que la vie a forgé pour combattre aussi bien dans l'univers ouvrier des années 30 que pendant la seconde guerre mondiale avec leur implication dans la résistance. Cette plongée dans le passé a nécessité de nombreuses recherches suivies d'une longue enquête menée sur la vie de ces deux personnages. ) 9 Marianne Cohn (Page dédiée à Marianne Cohn et à ses compagnons de résistance. Un mois avant d"être arrêtée, elle a sauvé ma tante Eva et mon père Maurice Finkelstein ) 10 L'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 (Page consacrée à l'ouvrage "L'attentat de la Poterne, un drame au cœur de Clermont" (2015).
Cette étude sur l'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 recoupe des documents d'archive à des témoignages oraux et écrits. Elle reprend de manière chronologique les évènements, de l'attentat de résistants sur un détachement allemands à l'immensité des représailles qui ont suivi : incendie d'immeubles, nombreuses arrestations, déportations et condamnations à mort.
) 11 "Objectif Lyon !" 12 Laurent Neury, l'espoir au bout du pont. Histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019 13 L'abbé André Payot, résistant et chef de réseau (Biographie détaillée d'André Payot et de ses activités de résistant durant la seconde guerre mondiale à Chamonix et Vallorcine (Haute-Savoie). Livre écrit par Jean-Luc de Uffredi, publié en 2019 aux éditions les Passionnés de bouquins. )
Bonjour,
J'entame un travail de recherche, à la fois historique et mémoriel, sur ma grand-mère paternelle, Colette Wormser (née Meyer et dans la clandestinité Colette Morel) juive et résistante dans la Creuse puis dans la région de Grenoble à partir de mai 1943. Elle reste dans cette ville jusqu'en octobre 1945. Elle joue un rôle actif via les liens qui se sont tissés entre l'OSE pour laquelle elle travaillait depuis août 1939 (maison d'enfants du château de Mainsat) et le Pensionnat Notre-Dame de Sion où elle se lia d'amitié avec soeur Joséphine, devenue par la suite Denise Paulin-Aguadich après avoir quitté les ordres.
[répondre]
*** Recherches d'archives et de témoignages
Bonjour,
J'entame un travail de recherche, à la fois historique et mémoriel, sur ma grand-mère paternelle, Colette Wormser (née Meyer et dans la clandestinité Colette Morel) juive et résistante dans la Creuse puis dans la région de Grenoble à partir de mai 1943. Elle reste dans cette ville jusqu'en octobre 1945. Elle joue un rôle actif via les liens qui se sont tissés entre l'OSE pour laquelle elle travaillait depuis août 1939 (maison d'enfants du château de Mainsat) et le Pensionnat Notre-Dame de Sion où elle se lia d'amitié avec soeur Joséphine, devenue par la suite Denise Paulin-Aguadich après avoir quitté les ordres.
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*** Recherches d'archives et de témoignages
Bonjour,
J'entame un travail de recherche, à la fois historique et mémoriel, sur ma grand-mère paternelle, Colette Wormser (née Meyer et dans la clandestinité Colette Morel) juive et résistante dans la Creuse puis dans la région de Grenoble à partir de mai 1943. Elle reste dans cette ville jusqu'en octobre 1945. Elle joue un rôle actif via les liens qui se sont tissés entre l'OSE pour laquelle elle travaillait depuis août 1939 (maison d'enfants du château de Mainsat) et le Pensionnat Notre-Dame de Sion où elle se lia d'amitié avec soeur Joséphine, devenue par la suite Denise Paulin-Aguadich après avoir quitté les ordres.
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*** recherche d'information et de documents
Je recherche des documents et des informations sur des Résistants en Isère pour continuer le devoir de mémoire.me contacter: frederique.roustant30@hotmail.com
[répondre]
*** CHAPAREILLAN juifs cachés
Nous cherchons des informations sur des personnes qui auraient connu (ou caché) Hersz (Herschel) Korngold, arrêté à Chapareillan en mai 1944 par les Allemands, envoyé à Lyon, puis Drancy, puis déporté à Auschwitz par le convoi 77 du 31 juillet 1944 (né en Pologne en 1894)
Et pour toute information sur un éventuel réseau d'assistance à des Juifs persécutés.
Contact: www.convoi77.org
[répondre]
*** Région de Theys
Bonjour, je recherche des informations sur l'histoire du groupe de résistants auquel appartenait Jacques Aaronson. Je suis le neveu de Micheline Meyer son épouse arrêtée à Grenoble et déportée fin 1943.
Laurent M.
[répondre]
Bonjour
je viens de prendre cnnaissance de votre message j'ai un magazine dédié aux resistantsSeconde guerre Résistance Française les hommes de l'ombrehttp://quilesmarie.e-monsite.com/
je suhaiterai vous aider et publier sur mon site l'histoire de Jacques Aarnson
me contacter par mon adresse mail sur mon site
Merci
Bonjour, je réagis avec sûrement beaucoup de retard à votre proposition mais je viens de relancer mes recherches en accompagnant celles d'une amie dont le père, radio dans la résistance a été arrêté et interné au fort de l'Esseillon au dessus de Modane, évadé en septembre 1943, puis déporté à Mauthausen et décédé.
Ma tante Micheline, femme de Jacques Aaronson, est-elle décédée à Auschwitz après avoir été arrêtée à Grenoble en mars 1943.
Merci de votre aide.
laurent.meyer1@gmail.com[répondre]
*** RECHERCHE INFO SUR PIERRE DEBRU
Bonjour, J'ai découvert à la lecture du livre Chroniques des maquis de l'Isère 1943-1944 que mon grand-père faisait partie de l'Armée secrète d'Allevard. Je suis donc à la recherche de tout document sur Pierre Debru, pharmacien de son état à Allevard durant cette période. Il était souvent sollicité pour trouver notamment des cachettes à ceux qui montaient dans le maquis pour éviter le STO. En ce sens il faisait régulièrement des navettes vers Sillan, Izeaux, vers aussi la Scierie Millat. Espérant que cette annonce m'apporte plus d'informations. Je remercie par avance tout ceux qui pourront contribuer à ma recherche.
Laurent
[répondre]
Bonjour, Avez-vous effectué des démarches auprès du Musée de la Résistance et de la Déportation de Grenoble qui pourrait au minimum vous indiquer les organismes auxquels vous pouvez vous adresser si eux-mêmes ne peuvent vous fournir les informations que vous recherchez ? Idem à propos des archives départementales de l'Isère. Bonne recherche.
Cordialement, Jean-François.[répondre]
Bonsoir. Effectivement je leur ai écrit. Ils m'ont donné une info que je possédais déjà mais je dois prendre rendez vous avec eux. Bonne continuation et merci pour l'info.
Laurent[répondre]
Bonjour, jeune historien isérois je dispose du témoignage (7 pages) de Pierre Debru recueilli dans les années 70.
Bonsoir, Je serai vraiment très heureux de pouvoir lire ce témoignage car mon père m'a assez peu parlé du passé de résistant de mon grand_père car celui ci avec ses enfants était peut etre un brin pudique et considérait ne pas avoir fait de choses extraordinaires. Au plaisir de vous lire Laurent Debru 0689352579[répondre]
Bonjour
je viens de prendre connaissance de votre message,je suis très intéressée par l'histoire de la Résistance j'ai créé un site les concernant Seconde guerre Résistance Française http://quilesmarie.e-monsite.com/
Je souhaiterai publier votre histoire
me contacter sur mon adrese mail sur mon site
merci
*** 11 otages de Vif, fusillés au Col du Fau le 20 juillet 1944
Je recherche des informations sur ce massacre du 11 juillet 1944 à Vif (cf plaque place des 11 otages (https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=357887&individu_filter=GILLIER&rubrique=monuments)
Les 11 otages sont : Marcel ABONNEL, Alphonse ARNAUDON, Jean BRACHET, Lucien PAUCHER, Jean DURBET, Georges BAUDOIN, René GRILL, Jacques ALESSI, Frédéric BANCEL, Georges GILIER (ou GILLIER?), Phlippe KRISTENKO.
J'ai trouvé plusieurs versions de cette fusillade (repression soulèvement maquis vercors, représailles attentat motocycliste allemand, rencontre avec maquisard.. ??).
Je recherche de qu'il s'est passé et des infos sur les otages.
Merci
:)
Cécile (L'un d'eux est un de mes ancêtres)
[répondre]
*** Avis de recherche
Je recherche des témoignages concernant Paul et Mélanie Dard. Ce couple a caché des familles juives au printemps 1944 au bord du lac de Charavines où ils avaient une maison. Paul Dard est né en 1888 à Nandax (Loire); il a épousé Mélanie David. Ils habitaient à Grenoble (rue de la Poste puis avenue Jean Perrot). Paul est décédé en janvier 1954 et Mélanie en février 1971.
Merci de me contacter si vous avez des renseignements sur les familles sauvées : des témoignages ont peut-être traversé le temps ?
Paul était l'oncle de mon grand-père. Ses arrière-petites-filles, qui sont nées et vivent aux Etats-Unis, souhaiteraient que soient reconnus ses actes de bravoure. GC
[répondre]
*** Famille Herzog Miribel les echelles Entre deux Guiers
Mes arrières grands parents (FURCY à Entre deux Guiers/Miribel les ecehelles) ont hébergé une famille juive (les parents nommés HERZOG et leur enfant Philippe), dans leur ferme, pendant la guerre. Je n'ai que peu d'informations. Les armes et les provisions du Maquis se trouvaient également dans cette ferme. J'aimerai honorer leur mémoire à titre posthume et qu'ils puissent être considérés comme des "Justes". Quelqu'un pourrait-il m'aider ?
J'ai un tableau de peinture peint par Colette Danguy, la maman (?) laissé en cadeau par cette famille qui venait je crois de Paris ? Ma grand mère FURCY Denise habitait dans cette ferme et mon père Gilbert, enfant à l'époque, se souvient d'eux. Merci à ceux qui pourraient m'aider et me donner quelques informations.
Pascale Roux_Sibillon
[répondre]
*** Garbarz Hersz alias Yanni ?
Bonjour,
je recherche des informations concernant mon grand-père, Garbarz Hersz, né en 1896. Il a été arrêté le 16 décembre 1943, 8 rue de Bonne à Grenoble, lors d'une réunion politique. Lors de cette arrestation 2 jeunes ont été tués : Julien Zerman et jean Briewski. je ne sais si c'est la Gestapo ou la police française qui les a arrêtés. Je viens de recevoir un document BAVCC disant qu'il avait une fausse carte d'identité au nom de Yanni. Sur ce document il est dit qu'il habitait Saint-Egrève. Il a été ensuite déporté à Auschwitz par le convoi 66 du 20 janvier 1944.
Je recherche des informations sur cette arrestation ainsi que sur lui... si des personnes ont des témoignages... Merci.
[répondre]
*** Recherche de personnes déportées
Je recherche des personnes déportées ayant connu mon grand-père Albert Luyat pendant ses actes de résistances ou pendant sa déportation au camp de Buchenwald
[répondre]
Mon grand-père, Benjamin CHATELIER, se trouvait à Buchenwald à la même période que le votre. D'après mes recherches, mon grand père serait parti en colonne de la mort le 10 avril. Le convoi portait le n° G, en direction du camp de Flossenürg où il serait arrivé le 12 avril. Ensuite ce convoi a été divisé en trois colonnes (A, B et C ). Les rescapés ont été récupérés par les alliés le 23 avril. Etaient-t'ils ensemble? comment sont'ils morts, et où ? Je n' ai pas réussi encore à trouver des listes exhaustives des morts durant ce voyage. Par suite je continue mes recherches en essayant par le biai des archives nazies ouvertes au grand public.
Salutations[répondre]
Merci infiniment pour votre réponse.
Je vous envoie mon adresse email
marion;luyat@gmail.com[répondre]
Bonjour, votre grand-père Albert Luyat faisait partie du convoi référencé I252 sur le site www.bddm.org parti de Toulouse. Mon grand-père Jean Kervévan en faisait partie mais il est décédé en 1962. La plupart (mais pas tous) venaient du camp d'internement de St Sulpice la pointe dans le Tarn M Gaston Viens maire honoraire d'Orly en faisait aussi partie, il avait dans les 18-19ans vous pouvez essayer de le contacter. Il y aussi Léon Zyguel rescapé. Si votre grand-père était au camp de St Sulpice peut être que M Viens en a un souvenir. A votre disposition Anne Marie [répondre]
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