(1940 - 1943) Marcel Julien Henri Ribière, Préfet de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1892-1986)
(Mai 1943 - Mai 1944) Marie Joseph Jean Chaigneau, Préfet de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse). Arrêté en mai 1944 par les Allemands, il est déporté au camp d'Eisenberg
Alfred Papinot
(14/02/1944 - 25/08/1944) Préfet du Gard
Raymond Aubrac
(1944 - 1945) Raymond Aubrac, de son vrai nom Raymond Samuel, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1914)
Paul Haag
(1945 - 1946) Paul Maurice Louis Haag, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1891-1976)
Familles réfugiées à Gallargues-le-Montueux[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
1 Famille arrêtée (Gallargues-le-Montueux)[Compléter]
17/01/1944Famille BARDOT Vivianne Rosa - Vivianne Rosa Léa Bardot
Née à Gallargues le 16 août 1904.
Fille de Maurice Bardot, 24 ans, propriétaire ;
Et de Céline Mathilde Figaret, 20 ans, sans profession.
Déclaration faite en présence de Joseph Léandre Bardot, grand-père.
Adoptée par la Nation par jugement du 5 mars 1921.
Décédée à Marseille, 12e, le 30 décembre 1992.
Vivianne Bardot et sa mère faisaient semble-t-il partie du même réseau que Jean Folcher.
Domiciliée à Montpellier elle servait d’agent de liaison avec sa mère entre Nîmes, Gallargues et Montpellier. Plusieurs témoignages de Gallarguois font état de leurs activités clandestines, y compris la cache de Juifs dans leur mazet « Mont Plaisir » à côté du pont romain sur le Vidourle.
Toutes deux ont échappé à une première arrestation semble-t-il en juillet 1943.
Leur maison, au fond de l’impasse de la Révolution, à Gallargues, ayant deux issues elles avaient eu le temps d’aller se cacher dans un caveau du cimetière de la Planète tout proche.
Sur dénonciation d’un Gallarguois elle et sa mère ont été arrêtées le 17 janvier 1944.
Plusieurs récits de Gallarguois témoins des événements font état de Français et d’Allemands qui participèrent à cette arrestation, la présence de camions sur le Coudoulié les paroles en Français de l’un des protagonistes « Fout lui un coup de pied au cul à la vieille ! Tu verras qu’elle montera plus vite ! ». La présence d’hommes en manteaux noir qui bloquaient l’arrière de la maison est également mentionnée qui confirme que l’issue « de secours » ne pouvait être connue que par la précision apportée par un Gallarguois.
En 1953, à Marseille, les membres de la Gestapo de Montpellier, sont jugés lors d’un procès qui dure deux semaines.
Un article du journal « le Provençal » du 24 novembre cite le témoignage de Vivianne. Elle relate aux juges du tribunal militaire de la Ixe région son arrestation et celle de sa mère, citant un dénommé Steup qui fait partie des accusés. Elle fait état des violences de ce dernier.
Pendant le procès, un dénommé Ludwig Kocher, surnommé « le boxeur » ou « le tueur », commandant du SIPO. SR, reconnaît avoir lui-même arrêté Vivianne Bardot
Priess, un des coaccusés reconnaît l’avoir conduite à la prison de la villa des Rosiers à Montpellier où elle a été détenue, privée de nourriture et interrogée pendant plusieurs jours avant d’être déportée à Ravensbruck.
Faute de pouvoir la confondre, sa mère a été relâchée.
Le camp a été libéré par l’armée Rouge le 30 avril 1945.
Après son retour en France Vivianne Bardot a continué à vivre à Montpellier. Adepte des Témoins de Jehova, elle eut un fils, Daniel
Sa mère a vécu à Gallargues jusqu’à la fin de ses jours.
12/07/1944 -Le 12 juillet 1944, au village de l’Espérou, les maquis Armée Secrète d’Ardaillès et de Lasalle fusionnent pour constituer le maquis Aigoual-Cévennes, fort de 400 hommes.
Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]
1 Gallargues-le-Montueux sur
Wikipedia 2 Rencontre avec Paul Niedermann (Conférence de Paul Niedermann (1h24) enregistrée en mars 2011 au collège d'Estagel dans les Pyrénées-Orientales. Paul Niedermann retrace son parcours entre 1935 et 1945 de Karlsruhe à la Maison d'Izieu, en détaillant son passage au Camp de Rivesaltes. ) 3 Les maquis en Cévennes (Pour la Mémoire, dans cet historique de la Résistance en Cévennes, il y a la saga d’une bonne partie de la Résistance M.U.R. du Gard, concernant ses maquis de l’Aigoual, mais aussi leur mouvance, de Nîmes, Le Grau du Roi, Sommières et même Ganges, étroitement uni à Lasalle, Saint Hippolyte du Fort et Valleraugue. C’est la mémoire d’une résistance populaire, encadrée par des hommes courageux, volontaires, qui n’étaient pas préparés à ces lourdes responsabilités et qui surent les assumer, avec raison et sans défaillance.
La montée en puissance de cette résistance, surestimée par l’adversaire, lui donna un grand rayonnement dans notre département. C’est aussi, la mémoire d’un pays de montagne moyenne, mais très accidentée, sorte de refuge dans lequel s'’est perpétuée une tradition d’accueil et de liberté. Les Cévennes. )
4 Page Facebook de Lois Gunden Clemens 5 Lien vers l'éditeur du livre "La Villa St Christophe à Canet-Plage" (La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943 ) 6 Vous êtes venus me chercher (Blog de l'auteur - parutions, conférences, signatures... ) 7 Elie Cavarroc, Juste des Nations (M. Elie Cavarroc, nommé Juste des Nations. Référence du dossier n°10002 du Comité Français pour Tad Vashem ) 8
*** recherche explication et rechecherche généalogique
Quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi mes grands-parents n'étaient pas libre de se déplacer pendant la guerre 39/45 je peux le comprendre puisqu'ils n'avaient pas la nationalité française, ils étaient Suisse, mais l'interdiction a perduré après la guerre ? J'ai joins la photo de la carte de circulation.
Je suis aussi à la recherche de cousins: ZBINDEN Paul qui a été pasteur en France pendant 25 ans
qui a eu 6 enfants sa sœur ZBINDEN marguerite Aurèlie Albertine Collomb et son frère ZBINDEN Jean, son épouse se prénommait Marie, il a travaillé 45 ans à la poste à Genève en tant que facteur de mandats, ils ont eu 2 filles une était maitresse d'école, elle a eu 2 filles dans les années 50/60 l'autre était professeur dans les écoles supérieures.
Je remercie toutes les personnes qui pourrons me renseigner.
[répondre]
je fais des recherches sur mon grand-père, Paul Zbinden, pasteur à St Jean du Gard sous l'occupation et ayant participé à un réseau de sauvegarde et de passage pour enfants juifs. Il a en outre protégé une famille. [répondre]
Je suis Luc Zbinden, petit-fils de Paul Zbinden . Avez-vous des informations concernant la famille Zbinden pendant la guerre ?[répondre]
*** RECHERCHE TEMOIGNAGES ENFANTS SAUVES
Nous recherchons des témoignages d’enfants qui auraient bénéficié de l’aide du pasteur Paul Zbinden entre 1940 et 1944, et qui ont été acheminés par lui, en train, de Paris vers le Sud de la France. Selon nos informations, les enfants juifs avaient pour destination la frontière espagnole, Nîmes ou Marseille, ou étaient cachés dans des familles.
M. Paul Zbinden, qui avait 40-45 ans à ce moment, était domicilié à St-Jean du Gard , dans les Cévennes.
Voilà ce que raconte une des filles de M. Zbinden :
« Mon père a fait de fréquents voyages à Paris (où il était contact avec un prêtre) d’où il ramenait des petits groupes d’enfants juifs vers le sud, en zone libre, peut-être vers la frontière espagnole.
Lorsque des soldats allemands contrôlaient et fouillaient le train, les soldats se divisaient en deux groupes l’un partant de la tête et l‘autre de la queue du train pour se rencontrer au milieu, puis ils faisaient demi-tour, chacun de leur côté.
Pendant la fouille, le train était arrêté et on cachait les enfants sous le train à ce moment-là. Quand les soldats avaient le dos tourné, on ramenait ensuite les enfants dans le train. »
Toute personne ayant rencontré (ou ayant été sauvée) par le pasteur Paul Zbinden est priée de prendre contact avec nous au plus vite.
Merci de regarder attentivement ces photos de M. Paul Zbinden, prises à cette époque. [répondre]
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