Soutenez le travail de l'AJPN
  Recherche de personne, de lieu : affiche la page   Recherche type Google : propose des pages  
 
 
Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France
2 annonces de recherche
39/45 en France (WWII)
base des données identifiées par AJPN.org
Nouveaux articles
Une page au hasard
38080 noms de commune
95 départements et l'étranger
1230 lieux d'internement
744 lieux de sauvetage
33 organisations de sauvetage
4342 Justes de France
1072 résistants juifs
15987 personnes sauvées, cachées
Expositions pédagogiques AJPN Exposition pédagogique 2e Guerre mondiale : la guerre, l'occupation, la vie quotidienne, les lois antisémites, les rafles, les justes, les enfants cachés, les rescapés, les témoins L'enfant cachée
Das versteckte Kind

Chronologie 1905/1945
En France dans les communes
Les Justes parmi les Nations
Républicains espagnols
Tsiganes français en 1939-1945
Les lieux d'internement
Les sauvetages en France
Bibliothèque : 1387 ouvrages
Cartographie
Glossaire
Plan du site
Signaler un problème technique
Imprimer cette page
Lozère

Région :
Occitanie
Département :
Lozère

Préfets :
(27/09/1941 - 22/08/1944)
Charles Daupeyroux
(18/07/1939 - 27/09/1941) Préfet de la Lozère
Pierre Olivier de Sardan
(1941 - 1942) Préfet de la région de Montpellier (Aude, Aveyron, Hérault, Lozère et Pyrénées-Orientales)
Alfred Hontebeyrie
(11/10/1942 - 16/07/1944) Alfred Roger Hontebeyrie, Préfet de l'Hérault et de la région de Montpellier (Aude, Aveyron, Hérault, Lozère et Pyrénées-Orientales) (1895-1969)
Henri Cordesse
(22/08/1944 - 24/09/1946) Préfet de la Lozère

À lire, à voir…

Marie-Christine Hubert Marie-Christine Hubert
Emmanuel Filhol
Les Tsiganes en France - Un sort à part (1939-1946)

ACHETER EN LIGNE

Paul Schaffer Paul Schaffer
Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945

ACHETER EN LIGNE

Alfred Roger Coutarel Alfred Roger Coutarel
Itinéraire d’un résistant des Cévennes à la Libération

ACHETER EN LIGNE

Hervé Mauran Hervé Mauran
La Résistance espagnole en Cévennes (Les lieux de mémoire)

ACHETER EN LIGNE

Katy Hazan Katy Hazan
Le sauvetage des enfants juifs pendant l'Occupation, dans les maisons de l'OSE 1938-1945

ACHETER EN LIGNE

michel Fabre michel Fabre
La Micheline de 18h23

ACHETER EN LIGNE

 AACCE AACCE
Les Juifs ont résisté en France (1940-1945)

ACHETER EN LIGNE

Katy Hazan Katy Hazan
Les orphelins de la Shoah - Les maisons de l'espoir (1944-1960)

ACHETER EN LIGNE

Henri Cordesse Henri Cordesse
Histoire de la résistance en Lozère 1940-1944

ACHETER EN LIGNE

Cédric Gruat Cédric Gruat
Cécile Leblanc
Amis des Juifs

ACHETER EN LIGNE

Patrick Cabanel Patrick Cabanel
Cévennes, un jardin d'Israël

ACHETER EN LIGNE

 Fondation pour la Mémoire de la Déportation Fondation pour la Mémoire de la Déportation
Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945 - 4 volumes

ACHETER EN LIGNE

Stéphane Simonnet Stéphane Simonnet
Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944 - 8 mai 1945

ACHETER EN LIGNE

Pierre Copernik Pierre Copernik
Abcdaire de la résistance

ACHETER EN LIGNE

Simonne Chiroleu-Escudier Simonne Chiroleu-Escudier
Mireille Chiroleu
Eric Escudier
La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943

 

Paul Schaffer Paul Schaffer
Als ich in Auschwitz war - Bericht eines Überlebenden (Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945 ; en langue allemande)

ACHETER EN LIGNE

 Collectif Collectif
Jean-Pierre Guéno
Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

ACHETER EN LIGNE

Serge Legrand-Vall Serge Legrand-Vall
La rive sombre de l'Ebre

ACHETER EN LIGNE

Sylvie Goll-Solinas Sylvie Goll-Solinas
Vous êtes venus me chercher

ACHETER EN LIGNE

Henriette Asséo Henriette Asséo
Les Tsiganes. Une destinée européenne

ACHETER EN LIGNE

Arlette Lipszyc Arlette Lipszyc
En quête de mon père Jankiel Lipszyc, Skierniewice (1898)-Miremont (1944)

ACHETER EN LIGNE

Loïc Dauvillier Loïc Dauvillier
Marc Lizano
Greg Salsedo
L'enfant cachée

ACHETER EN LIGNE

Geneviève Dreyfus-Armand Geneviève Dreyfus-Armand
Septfonds, 1939-1944. Dans l'archipel des camps français

ACHETER EN LIGNE

Georges Loinger Georges Loinger
Les Résistances juives pendant l'occupation

ACHETER EN LIGNE

Philippe Joutard Philippe Joutard
Jacques Poujol
Patrick Cabanel
Gilbert Badia
Cévennes - Terre de Refuge 1940-1944

ACHETER EN LIGNE

Georges Loinger Georges Loinger
Frida Wattenberg
Jean Brauman
Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945

ACHETER EN LIGNE
[Ajouter un ouvrage]

Texte pour ecartement lateral

Florac en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 48400
Gentilé : Floracois, Floracoises

Nom depuis 2015 : Florac-Trois-Rivières
Regroupe : Florac, La Salle-Prunet

- Lozère
[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo]

Florac en 1939-1945
Florac et Rochefort
source photo : Michel Heuze
crédit photo : D.R.

Voir l'histoire du département de la Lozère
Histoire
Florac est située à 545 m d'altitude au carrefour des Causses, Cévennes et Mont Lozère, aux portes du Grand Site national des Gorges du Tarn.

La commune compte environ 2 000 habitants.

Un grand nombre de clandestins, républicains Espagnols exilés, brigadistes, Juifs et antifascistes pourchassés par Vichy sont accueillis en Lozère, département essentiellement agricole, à forte minorité protestante et traditionnellement considéré comme terre de refuge.

02/11/2009

[Compléter l'article]

Le pasteur Lespinasse

Le pasteur Lespinasse, né en 1909 à Limoges, nommé en poste à Florac de juillet 1940 à septembre 1943 accueillit les réfugiés, comme de nombreuses paroisses de la Lozère.

Il participa également à faire évader plusieurs personnes en juin 1944 avec la complicité d'un gardien et l'aide de Jeanne Merle d'Aubigné ainsi que d'autres protestants.

En liaison avec la Résistance, les pasteurs et les maires aidèrent des jeunes requis au STO à se cacher dans des hameaux proches de Florac.1

14/12/2012

[Compléter l'article]

Les Éclaireurs Israélites à Florac

Durant l'hiver 1943-1944, Raymond Winter, Marcel et Gradwohl, trois jeunes gens, cousins, originaires d'une très ancienne famille alsacienne installée à Pfaffenhoffen (Bas-Rhin), installe un camp des Éclaireurs Israélites sous couvert d'un camp "unioniste" avec l'aide bienveillante du préfet de Lozère.

19/06/2009

[Compléter l'article]

La Résistance à Florac

A Florac, dans le désarroi général de la débâcle de juin 1940, beaucoup de gens pensent, comme partout, que l'armistice est une bonne solution. Charles Pomaret, député de la circonscription, élu de gauche, devient même ministre de l'Intérieur du nouveau gouvernement. Mais, dès la fin de l'année 1940, grâce à l'influence des pasteurs Gall et Lespinasse, ainsi que des émissions de Radio Londres, un courant de pensée prend ses distances à l'égard du Maréchal et de la Révolution nationale, les idées de Résistance se développent.

A Florac, plusieurs familles juives sont discrètement logées par des résistants locaux. Simone Serrière* de la Salle Prunet reçoit en 1985, le titre de Juste parmi les Nations.

Au cours de l'année 1941, le mouvement Combat prend de l'influence dans les Cévennes grâce à Max Maurel, étudiant en médecine, qui est en contact avec Jean Huc dit "Francis", percepteur au Collet de Dèze mais c'est après l'occupation de la zone libre, en novembre 1942, que l'on note un début d'organisation de la Résistance à Florac.

L'équipe départementale, sous la responsabilité d'Henri Bourrillon, noue des contacts avec Henri Couderc, André Meissonnier, Camille Boude. De son côté, Louis Noguères, assigné à résidence au Pont du Tarn, est en relation avec Noël Blanc, perpignanais comme lui, Paul Marcesse, Jean Chalier, Verdelhan, le docteur Daniel Wall , réfugié juif et futur responsable du SOAM, Serge Wourgaft, résidant à l'Hôtel Central. Cloisonnées au départ, les deux équipes fusionnent sous l'égide du mouvement Combat. Noël Blanc dit "Bernier" est le premier responsable en liaison avec l'organisation départementale.

Les débuts sont modestes. Chacun dans ses relations recrute des personnes de confiance pour constituer des sizaines et participer à la diffusion du journal clandestin Combat, à la recherche de caches d'armes faites par l'armée avant l'Occupation. Henri Couderc, entrepreneur à Florac, stocke kilo par kilo dynamite et cheddite, pour les sabotages à venir des voies de communication. A Bédouès, Gustave Causse, instituteur, s'occupe activement du recrutement et organise des sizaines.

En mai 1943, Noël Blanc est arrêté et conduit à la gendarmerie d'où il s'évade. Gustave Causse part à sa recherche et le ramène à Bédouès où il le cache quelques jours avant de le faire partir pour la région de Millau muni de fausses pièces d'identité. Serge Wourgaft dit "Didier" est désigné pour lui succéder.

Outre la mise en place des structures clandestines, des faits, comme les deux atterrissages clandestins sur l'aérodrome naturel de Chanet situé sur le Causse Méjean au-dessus de Florac, inquiètent Vichy comme l'occupant. Dans la nuit du 18 au 19 avril 1943, vers 21 heures, un avion bimoteur allié atterrit et repart après l'arrivée sur le terrain de deux automobiles. Le 21 avril, des officiers allemands inspectent le terrain ; le 12 mai, l'ordre de neutraliser Chanet, en creusant des fossés, est donné. Mais avant le commencement des travaux, dans la nuit du 19 au 20 mai 1943 à deux heures du matin, un nouvel avion semblable au précédent atterrit sur Chanet. A partir du 31 mai, un détachement allemand de 22 hommes est cantonné à la ferme du Fraisse pour assurer la surveillance.

L'approche présumée du jour J conduit les cadres de l'Armée secrète (AS) à organiser, le 30 août 1943, une réunion chez Olivier de Framond à Marvejols, pour confronter les dispositions prises ou à prendre dans les différents secteurs du département. Serge Wourgaft dit "Didier" y représente Florac. Suite à l'intervention de la Gestapo de Montpellier, cinq participants sont arrêtés mais Wourgaft passe à travers les mailles.

Le 31 octobre 1943, la police allemande arrête à Florac, Marceau Farelle et Serge Wourgaft. Ce dernier est porteur d'une copie d'un rapport de Rispoli, commissaire de police des Renseignements généraux (RG), établi le 18 septembre sur la reconstitution du Parti communiste à Saint-Privat-de-Vallongue2. Copie obtenue par le service de Noyautage des administrations publiques (NAP) de la sous-préfecture de Florac où la Résistance compte un élément actif, Suzette Agulhon. Les responsabilités de Wourgaft dans l'organisation départementale de la Résistance ne sont pas décelées. Il est déporté à Buchenwald et rentrera en France à la libération des camps. Quant au malheureux Farelle, il est amené à Nîmes et torturé à mort. Pour couvrir son forfait, la Gestapo transporte Marceau Farelle à l'hôpital et monte un simulacre de suicide qui ne trompe personne. La population de Florac assiste, digne et silencieuse, à ses obsèques, malgré la présence des agents des RG. Suzette Agulhon est arrêtée le 18 novembre 1943. Interrogée à Montpellier, elle est par la suite internée au camp de Brens dans le Tarn, puis transférée au camp de Gurs, d'où elle s'évade. En octobre 1944, elle rejoint Florac où elle peut reprendre sa fonction à la sous-préfecture.

Le réseau AS , sous la responsabilité de Maurice Tour, contrôleur des postes à Florac, qui succède à Serge Wourgaft, couvre tout l'arrondissement. De fréquentes réunions ont lieu à l'Hôtel Nogaret à Jalcreste qui devient le poste de commandement de la région.

Le 28 février 1944, Marty, intendant régional de police à Montpellier, informé qu'Emile Peytavin dit "Ernest", chef militaire de la Résistance lozérienne, doit y rencontrer ce jour-là François Rouan dit "Montaigne" et Antonin Combarmond dit "Mistral", décide d'intervenir avec un groupe de GMR. Il y trouve une trentaine de SS qui l'ont précédé. Les propriétaires, monsieur et madame Nogaret, et le garde forestier Élie Désiré, leur futur gendre, sont interrogés et malmenés. A l'arrivée du car Mende-Alès, les voyageurs sont contrôlés. Parmi eux se trouvent Emile Peytavin dit "Ernest" et Jean Mazel son adjoint. Après un interrogatoire et de vaines menaces, les voyageurs regagnent leur car qui continue vers Alès. Au retour, Marty se rend à la perception du Collet de Dèze où travaille Jean Huc dit "Francis". Ce dernier échappe de peu à l'arrestation.

Le même jour, dès l'aube, une compagnie allemande investit le village de Cassagnas pour arrêter Salomon Grumbach et sa femme, mais le couple israélite, averti, s'est réfugié ailleurs. A dix heures, la gendarmerie de Florac signale par téléphone : " Un détachement armé de troupes d'occupation se trouve à la sortie sud de Florac - vingt véhicules environ dont plusieurs camions blindés - un poste de TSF installé dans un champ. Effectifs environ une centaine d'hommes. On pense que ce détachement est arrivé à Florac entre cinq heures trente et six heures." Au cours de la journée, la Gestapo arrête Henri Bourrillon à Mende, Max Roy et Gaston Sarrus à Marvejols. Le lendemain Maurice Tour est arrêté sur son lieu de travail à Florac. Ils sont tous déportés.

Le 1er mai 1944, une réunion des résistants floracois se tient au Café Dides, en présence de Jean Huc dit "Francis", responsable des MUR pour l'arrondissement de Florac. La Milice patriotique est constituée avec à sa tête Auguste Augland et son adjoint Camille Boude.

Le 26 mai 1944, dans l'après-midi, le maquis Bir Hakeim s'installe à La Borie commune de La Parade. Le lendemain matin le brigadier de gendarmerie de Meyrueis transmet à son lieutenant à Florac, Charles Sorrant, le message codé qui est transmis à Mende puis au préfet qui le livre aux Allemands. Le 28 mai au matin, le maquis Bir Hakeim est cerné et attaqué. Trente-quatre maquisards sont tués, vingt-sept prisonniers emmenés à Mende sont fusillés le lendemain à La Tourette, parmi eux Louis Dides de Florac.

Le 6 juin 1944, à l'annonce du débarquement des Alliés en Normandie, les résistants manifestent leur joie sur l'Esplanade.

Le 9 juin, la Gestapo arrête le docteur Paul Maury, maire de Florac depuis 1935. Écroué à Mende, il est ensuite déporté.

Dans la région de Florac, grâce aux dispositions techniques prises par Jean Chalier permettant les liaisons téléphoniques entre Florac, le Pont de Montvert, Vialas et Le Collet de Dèze, les divers maquis peuvent aisément communiquer entre eux avec l'aide des opératrices des PTT.

Les FFI tentent de perturber les déplacements des troupes d'Occupation et l'axe routier Mende - Florac - Alès fait l'objet de barrages mobiles. En juillet, les FTP établissent un barrage permanent entre Saint Julien d'Arpaon et La Salle Prunet. Dans la descente de Montmirat, les rochers en surplomb sont minés et un poste de garde prévu au Rocher Percé.

Le 3 août, les FTP accrochent une colonne allemande à la sortie de Florac. Un civil, Samuel Jeanjean, est tué, Jean Dides est blessé mais se sauve. Cette tentative de liaison des troupes d'Occupation avec Alès est la dernière.

Au cours du mois d'août 1944, la Résistance récupère sur le Mont Lozère, près du village de Racoules, des Arméniens déserteurs de la garnison de Mende et les affecte au barrage du Rocher Percé. Les FTPF contrôlent l'ensemble du pays cévenol, de Vialas et du Collet de Dèze à Florac.

En plus de l'aide aux maquisards, la Milice patriotique, née de l'organisation des résistants sédentaires, s'occupe de la sécurité, du contrôle de la production et de la circulation des biens, de la lutte contre le marché noir et de la police. Marcel Privat et Louis Rochette en sont les responsables administratifs avec Henri Couderc, Georges Espérandieu et André Meissonnier. Quelques collaborateurs sont arrêtés : le docteur Gosse et le forain Valès dirigés sur le camp de Masméjean, sont fusillés, l'avoué Chardenoux, vu son âge, est relâché.

Un rassemblement des Milices patriotiques a lieu à Florac le 1er octobre 1944. L'activité de la Milice patriotique continue jusqu'au 29 septembre, date de la désignation de Marcel Privat comme maire de Florac par le Comité local de Libération (CLL).

De son côté, le 22 août 1944, Jean Huc dit "Francis", responsable MUR du secteur, s'installe à la sous-préfecture, à la place du sous-préfet Guy Richelet, suspendu à compter de cette date. Jean Huc obtient, le 1er avril 1949, sa mutation pour Blaye (Gironde).

02/09/2013

Source :
Aeri Lozère
Lien : La résistance en Lozère

[Compléter l'article]

Les camps et les lieux d'internement de la Lozère

321e GTE Chanac 48230 Chanac
321e GTE Langogne 48300 Langogne
321e GTE Mende 48000 Mende
Camp de Chirac 48100 Chirac
Camp de Malavieille 48100 Marvejols
Camp de Rieucros 48000 Mende
Centre Le Malzieu-Ville 48140 Le Malzieu-Ville
Hôpital Mende 48000 Mende

Les lieux de sauvetage de la Lozère

Château du Boy 48000 Lanuéjols
École de Frères du Malzieu 48140 Le Malzieu-Ville
Hôpital psychiatrique de Saint-Alban 48120 Saint-Alban-sur-Limagnole
Hôtel Martin 48370 Saint-Germain-de-Calberte
La Providence 48000 Mende
Orphelinat des soeurs de Saint-Vincent-de-Paul 48100 Antrenas
Préventorium d'Antrenas 48100 Antrenas

Cultes à Florac

André Gall *  Pasteur  Nommé Juste parmi les Nations
M. Espinasse  Pasteur ( 07/1940 - 09/1943 )

Les 26 Justes parmi les Nations de la Lozère



2 Familles réfugiées à Florac [Compléter]
11/1942 / 1943
Famille Barosin - Jacob et Sonia ont été cachés à Florac, chez Ernest et Lucie Audrix* de novembre 1942 à 1943.
1944 / 1944
Famille Gutwirth - Elias et Hélène Gutwirth, et leurs deux enfants, Fanny et Azriel sont réfugiés à Mende. Durant l'été 1944, le pasteur Joseph Bourdon* envoie Elias et Hélène se réfugier à Florac, chez le pasteur André Gall*.

14 Familles arrêtées (Florac) [Compléter]

02/1943
Famille Barosin - Jacob, arrêté en tant que Juif étranger dépourvu de titre de résidence, emmené en camp de travail puis interné au camp de Gurs, il parvient à s’en échapper et revient à Florac.

1943
Famille Bauer - Wilhelm, 42 ans, né le 17/01/1901 à Bremen (Allemagne) est domicilié à Florac où il est arrêté parce que juif et déporté sans retour à Majdaneck (Pologne) le 04/03/1943 par le convoi n° 50.
Déportation : 04/03/1943
   convoi no 50
Source :
Mémorial de la déportation des Juifs de France


1942
Famille Glatt - Adolf, né à Vienne (Autriche) le 18/10/1903, était réfugié à Anvers en Belgique. Devant l'avancée allemande, il arrive en France et se réfugie à Alès, puis à Florac où il est arrêté parce que juif et déporté sans retour à Majdaneck (Pologne) le 04/03/1943 par le convoi n° 50.
Déportation : 04/03/1943
   convoi no 50


1943
Famille Grunbaum - Jacob, 49 ans, né le 13/01/1894, est domicilié à Florac où il est arrêté parce que juif et déporté sans retour à Majdaneck (Pologne) le 04/03/1943 par le convoi n° 50.
Déportation : 04/03/1943
   convoi no 50
Source :
Mémorial de la déportation des Juifs de France


1943
Famille Kohn - Louis, 56 ans, né le 21/08/1886 à Radomsko, Pologne est domicilié à Florac où il est arrêté parce que juif et déporté sans retour à Majdaneck (Pologne) le 06/03/1943 par le convoi n° 51.
Déportation : 06/03/1943
   convoi no 51
Source :
Mémorial de la déportation des Juifs de France

>> Voir les 14 familles arrêtées dans la commune <<



Chronologie [Ajouter]
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

Comment ajouter le votre. En savoir plus…

Vous êtes venus me chercher L'histoire de Rosa Goldmark, Récit 157 pages, réalisation 2014
Auteur : SYLVIE GOLL SOLINAS - terminal




Autres articles parus dans le site de l'AJPN

1 L'arrestation et l'assassinat de Louis Alfred Dides (Louis Alfred Dides, né le 27/10/1925 à Florac, est le fils de Jules Albert Dides, cafetier à Florac, et de Léa Albertine Meissonnier. Louis Dides grandit quartier de La Croisette à Florac. Réfractaire au STO, il passe dans la clandestinité au début de l'année 1944. )

Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Florac sur Wikipedia 
2 Rencontre avec Paul Niedermann (Conférence de Paul Niedermann (1h24) enregistrée en mars 2011 au collège d'Estagel dans les Pyrénées-Orientales. Paul Niedermann retrace son parcours entre 1935 et 1945 de Karlsruhe à la Maison d'Izieu, en détaillant son passage au Camp de Rivesaltes. )
3 Le site d'Anny Bloch (A lire, entre autres : le refuge cévenol (1940-1944), hommage aux habitants de Vialas et hommage au pasteur Boegner*, 22 août 2012 )
4 Page Facebook de Lois Gunden Clemens
5 Lien vers l'éditeur du livre "La Villa St Christophe à Canet-Plage" (La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943 )
6 Vous êtes venus me chercher (Blog de l'auteur - parutions, conférences, signatures... )
7 Elie Cavarroc, Juste des Nations (M. Elie Cavarroc, nommé Juste des Nations. Référence du dossier n°10002 du Comité Français pour Tad Vashem )

Notes

- 1 - Cévennes : Terre de Refuge 1940-1944
- 2 - Marc Donadille* est pasteur à Saint-Privat-de-Vallongue.

Annonces de recherche [Déposer une annonce]


***  informations sur le couvent d'Allenc Déposée le 01/07/2021

    Bonjour,
    je souhaitais savoir si des personnes avaient des informations sur le couvent d'Allenc (48).
    Des petites filles juives auraient été cachées par les religieuses du couvent qui appartenaient à la Providence dont ma grand-tante faisait partie.
    Cordialement
    [répondre]

***  dirigeant de la lozère en 1940 Déposée le 21/11/2019

    Bonjour,je voudrai savoir qui dirigeait la Lozère en 1940.Ainsi que les organisations qui l'aidait(S.S;Gestapo;milice;police française)
    Merci de me répondre au pluqs vite delai car c'est urgent.

    Merci

    Cordialement
    A.C
    [répondre]

***  Tardres-Bordarier-Mandagout Déposée le 20/03/2017

    Je voudrais savoir, si des gens ont entendu parler du maquis des Vanels. Il est de notoriété courante, que la maison "lou tardrou" cachait des juifs durant la guerre.
    j'ai aussi entendu dire qu'un circuit à partir du Vigan permettait cette "cache" Avec son cousin Etienne Mandagout, et son beau-frère Fernand Tardres, marcel Bordarier originaire d'Aulas serait un des maillon fort. Est-ce que quelqu'un aurait des informations à ce sujet?
    Merci
    [répondre]


Page réalisée avec le soutien de  Lhoumeau

[Signaler que le contenu de cet article vous semble erroné]




Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org
 * Juste parmi les Nations
 

Justes parmi les Nations - Righteous among the Nations - De Gerechten mank de Völker - Giusti tra le nazioni - Drept între popoare - Gerechter unter den Völkern - Sprawiedliwy wsród Narodów Swiata - Rechtvaardige onder de Volkeren - Justuloj inter la popoloj - Rättfärdig bland folken - Spravodlivý medzi národmi - Spravedlivý mezi národy - Vanhurskaat kansakuntien joukossa - Világ Igaza - Justos entre as nações - Justos entre las Naciones - Justos entre les Nacions
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024