oui Montluçon en 1939-1945
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Allier

Région :
Auvergne-Rhône-Alpes
Département :
Allier

Préfets :
Louis Nicolas Henri Adam
(17/11/1934 - 17/09/1940) Préfet de l'Allier
Joseph Porte
(17/09/1940 - 03/02/1943) Préfet de l'Allier
Charles Chevreux
(1941 - 1941) Jacques Charles Adrien Chevreux, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie)
Alfred Hontebeyrie
(1941 - 1941) Alfred Roger Hontebeyrie, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1895-1969)
Charles Donati
(1941 - 1943) Charles Guérin Joseph Louis Donati, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (né en 1891)
(07/1943 - 30/12/1943) Jean François Quenette, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie), révoqué par Vichy et recherché par la Gestapo pour son activité de résistant (1903-1971).
Félix Picot
(03/02/1943 - 02/09/1944) Préfet de l'Allier
Robert Fleury
(02/09/1944 - 16/02/1949) Préfet de l'Allier
Henri Ingrand
(1944 - 1946) Commissaire régional de la République (Cantal, Haute-Loire, Puy-de-Dôme et la partie non-occupée de l'Allier)(1908-2003)
Georges Bernard
(1944 - 1944) Georges Albert Maurice Bernard, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1890 - 1953)
Jean Bouhey
(Mars 1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1898-1963)
Jean Mairey
(1945 - 1946) Jean Marie Albert Mairey, Commissaire régional de la République par intérim de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1907-1982)

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Texte pour ecartement lateral

Montluçon en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 03100
Gentilé : Montluçonnais

- Allier
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Montlucon en 1939-1945
Hôtel de Ville
source photo : Croquant
crédit photo : D.R.
Montlucon en 1939-1945
Montluçon
source photo : Ville de Montluçon
crédit photo : D.R.

Voir l'histoire du département de l'Allier
Histoire
Montluçon est une commune située dans le Bourbonnais en Auvergne, sous-préfecture de l'Allier.

25/05/2009

[Compléter l'article]

La drôle de guerre et l'occupation

Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas le 10 mai 1940.

Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice. Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.

La ligne de démarcation, qui entre en vigueur trois jours plus tard, traverse treize départements : Basses-Pyrénées (Pyrénées-Atlantiques), Landes, Gironde, Dordogne, Charente, Vienne, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Cher, Allier, Saône-et-Loire, Jura, Ain.

Montluçon est situé en zone libre, alors que Moulins est soumis dès l'Armistice à l'occupant nazi et que depuis le 1er juillet Vichy est devenu le siège du gouvernement de Pétain et de l'État français  après l'occupation de Bordeaux par les Allemands.
Les Allemands quittent Montluçon une semaine après l'armistice, mais Montluçon est une ville meurtrie, après une inondation catastrophique le 4 mai 1940 et un bombardement le 19 juin qui a fait de nombreuses victimes civiles.

Les réfugiés affluent par milliers et s'installent dans la ville et dans ses environs.

La Demarkationslinie - la ligne de démarcation - ne disparaîtra que le 1er mars 1943, plusieurs mois après l’occupation totale de la France, le 11 novembre 1942.

Le 10 juillet 1940, trois parlementaires de l'Allier font partie des "quatre-vingts" qui refusent de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain : le sénateur SFIO Marx Dormoy, maire de Montluçon, le député maire de Commentry Isidore Thivrier et l’ex communiste Eugène Jardon, élu député à la complémentaire d’avril 1939.

Les débuts de la Révolution nationale
Dès le 11 juillet, après la proclamation de l'État français, la République disparaît et le nouveau régime cherche des responsables de la défaite.
Ce sera d'abord les Anglais, puis les hommes politiques de la IIIe République, avec la loi du 17 juillet 1940 qui donne le droit de révoquer tout fonctionnaire paraissant être un élément de désordre, et les étrangers.
Les francs-maçons, responsable de la décadence, sont mis au ban de la société dès le 13 août 1940. Le maréchal Pétain affirmait que si un juif n'était pas responsable de ses origines, "un franc-maçon l'était toujours de son choix".1
A Montluçon, la loge Union et Solidarité est frappée de séquestre et les francs-maçons fonctionnaires publics sont poursuivis en correctionnelle. Les hommes politiques de la IIIe République francs-maçons sont jugés devant la Cour suprême de Justice.

Le 20 mars 1941, Marx Dormoy, destitué de ses fonctions, est placé en résidence surveillée à Montélimar et prend pension à l'hôtel "Le relais de l'empereur" où il bénéficie d'une liberté toute relative. Il est assassiné dans la nuit du 25 au 26 juillet 1941 par une bombe à retardement placée sous son lit par d'anciens cagoulards.
L'émotion est grande à Montluçon.

Puis, après la chasse aux communistes, le gouvernement de Vichy entame la répression contre les Juifs avec la publication du "statut des juifs", le 2 octobre 1940, première loi antisémite officialisant la politique d'exclusion. Le nouveau statut des juifs, du 2 juin 1941 sera encore plus sévère. Puis une loi du 22 juillet 1941 porte sur les entreprises juives et le contrôle des fonds appartenant aux Juifs.
Le magasin "La femme chic", en haut du boulevard de Courtais est mis sous séquestre comme "entreprise juive".

Les rafles
Le recensement des Juifs, effectué en 1941, donnait pour l'Allier, un total de 3 669 personnes, dont 2 894 Juifs français et 775 Juifs étrangers.
Dans l'arrondissement de Montluçon, c'est Néris-les-Bains qui en accueille le plus grand nombre, la plupart séjournant à l'hôtel ou dans des pensions de famille, puis Montluçon, Villebret, Commentry.
L'arrondissement de Montluçon recense en tout 501 Juifs.
Le port de l'étoile n'est pas imposé en zone sud.

En vue des rafles prévues dans l'Allier, l'administration libère le Centre régional de rassemblement des Israélites du camp du Textile, afin d'y recevoir les Juifs étrangers des quatre départements de la région de Clermont-Ferrand, sur l'emplacement d'une usine désaffectée qui fabriquait avant la guerre du textile synthétique.
Ce camp, situé à la lisière de la ville, gardé par des gendarmes français et sous le commandement d'un commissaire des renseignements généraux, Martrou, avait déjà hébergé des réfugiés depuis 1940.

La rafle du 26 août 1942, débute à 5 h du matin et concerne 18 communes de l'Allier. Sept équipes de policiers arrêtent des personnes habitant les départements de la région de Clermont-Ferrand à leur domicile parce que Juives.
170 personnes sont rassemblées au camp du Textile de Prémilhat : 95 hommes, 60 femmes et 15 enfants.
Après l'opération dite "de criblage", 143 Juifs du camp, ne bénéficiant d'aucune des exceptions prévues, dont la plus jeune a 2 ans, sont emmenés à la gare de la Petite Vitesse à Montluçon et quittent la ville le 3 septembre à destination de Châteauroux-Vierzon sous escorte de 48 gardiens du GMR.
Ils seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 14 septembre 1942 par le convoi n° 32.2

En septembre 1942, le sous-préfet de Montluçon fait procéder à la réquisition de 17 appartements occupés par des familles juives

A partir de novembre 1942, la présence de l'occupant sur tout le département est de plus en plus pesante pour les habitants.

La Srortkommandantur est installée à l'hôtel Terminus.

Résistance
Montluçon, ville industrielle, a présenté une résistance plutôt populaire et en 1943, les ouvriers prennent souvent le maquis pour échapper au STO.
Le rapport du 23 janvier 1943 du capitaine Lefèvre, commandant la section de gendarmerie de Montluçon, relate l’état d’esprit de la population : Le 6 janvier 1943, un départ important était prévu pour 13 h 45. Au moment du départ du train, la foule, évaluée à deux mille personnes, a pénétré dans la gare par toutes les issues et a empêché le départ du train à l’heure prévue. Les manifestants ont été refoulés hors de la gare après l’intervention des détachements allemands armés. Plusieurs arrestations de manifestants ont été opérées ; ceux-ci, au nombre de vingt, ont été internés à Saint-Paul-l’Eyjeaux (Haute-Vienne). Par la suite, des départs ont eu lieu sans incident et régulièrement.Quelques ouvriers ont quitté leur domicile et n’y paraissent plus de crainte d’être appréhendés au titre de la réquisition. La population s’inquiète de plus en plus de ces départs massifs, on ne parle plus de "relève" mais de "déportation". Personne ou à peu près ne croit à la relève, car peu ou très peu de prisonniers rentrent à ce titre dans la région.3

La Résistance socialiste recrute surtout parmi les fonctionnaires et les employés municipaux, utilisant souvent les infrastructures locales. Ainsi, le matériel de propagande se fait à la mairie de Montluçon et le tirage est effectué à la marie de Commentry.

La répression à l'encontre des Montluçonnais soupçonnés d'aider la résistance s'amplifie dès l'automne 1943.

Dans la nuit du 15 au 16 septembre 1943, dans le cadre de missions visant à détruire le potentiel industriel de l’Allemagne nazie, et notamment ses outils de production à des fins militaires, les alliés décidèrent de bombarder l'usine de Dunlop. Plus de 300 bombardiers réduisent en cendres les ateliers de production et de stockage, ainsi qu’une partie de la ville de Saint-Victor. On dénombra 36 morts et plus de 250 blessés.

Les Allemands se sentent de plus en plus menacés par la résistance et à partir du 26 juin 1944, le couvre-feu est imposé à 22 h 30. A partir du 14 août il sera imposé à 20 h.

Le massacre de la Carrière des Grises
En réponse aux actes de la Résistance, le 14 août 1944 au petit matin, 42 otages retenus à la caserne Richemont sont emmenés par la Gestapo à la carrière des Grises, sur le terrain militaire du Mery, endroit isolé près de Quinssaines. Ils seront tous exécutés.4

Libération
Montluçon est libéré le 25 août 1944.

L'Allemagne capitule le 8 mai 1945.

28/07/2009

[Compléter l'article]

L'usine Dunlop

Durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands occupèrent l'usine de Dunlop (bien que l’usine fût en zone libre) pour exploiter le potentiel de laboratoire, puisque celle-ci avait la capacité de fabriquer du caoutchouc synthétique, le caoutchouc naturel ne pouvant être importé d’Indonésie par les nazis. La fabrication de pneumatiques avions pour la Luftwaffe était également très intéressante pour les Allemands.

C’est pourquoi dans la nuit du 15 au 16 septembre 1943, dans le cadre de missions visant à détruire le potentiel industriel de l’Allemagne nazie, et notamment ses outils de production à des fins militaires, les alliés décidèrent de bombarder le site. Plus de 300 bombardiers réduisent en cendre les ateliers de production et de stockage, ainsi qu’une partie de la ville de Saint-Victor. On dénombra 36 morts et plus de 250 blessés.

28/07/2009
Lien : Wikipedia

[Compléter l'article]

Rapport du capitaine Lefèvre

Rapport du capitaine Lefèvre, commandant la section de gendarmerie de Montluçon (Allier), sur l’état d’esprit de la population.
Montluçon, le 23 janvier 1943

Le 6 janvier 1943, un départ important était prévu pour 13 h 45. Au moment du départ du train, la foule, évaluée à deux mille personnes, a pénétré dans la gare par toutes les issues et a empêché le départ du train à l’heure prévue. Les manifestants ont été refoulés hors de la gare après l’intervention des détachements allemands armés. Plusieurs arrestations de manifestants ont été opérées ; ceux-ci, au nombre de vingt, ont été internés à Saint-Paul-l’Eyjeaux (Haute-Vienne). Par la suite, des départs ont eu lieu sans incident et régulièrement.Quelques ouvriers ont quitté leur domicile et n’y paraissent plus de crainte d’être appréhendés au titre de la réquisition. La population s’inquiète de plus en plus de ces départs massifs, on ne parle plus de "relève" 1 mais de "déportation". Personne ou à peu près ne croit à la relève, car peu ou très peu de prisonniers rentrent à ce titre dans la région.

23/10/2009
Auteur : J-M Pontaut et E. Pelletier
Source :
Chronique d’une France occupée, les rapports confidentiels de la gendarmerie

[Compléter l'article]

Les camps et les lieux d'internement de l'Allier

142e GTE Vallon-en-Sully 03190 Vallon-en-Sully
147e CTE Saint-Bonnet-Tronçais 03360 Saint-Bonnet-Tronçais
73e CTE La Ferté-Hauterive 03340 La Ferté-Hauterive
91e GTE Saint-Pourçain-sur-Sioule 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule
951e GTE Bournets-de-Chirat 03330 Chirat-l'Église
Camp d'Huriel 03380 Huriel
Camp du Fé de la Genebière 03410 Domérat
Camp du Textile 03410 Prémilhat
Caserne Richemont 03100 Montluçon
Château de Frémont 03190 Vallon-en-Sully
Donjon de la Mal-Coiffée 03000 Moulins

Les lieux de sauvetage de l'Allier

Château de Bussolles 3120 Barrais-Bussolles
Château de la Faulconnière 3800 Gannat
Château des Morelles 3110 Broût-Vernet
Hôpital de la Charité 3310 Lavault-Sainte-Anne
Orphelinat d'Ebreuil 3450 Ebreuil

Maires de Montluçon

Marx Dormoy   (09/05/1926-25/09/1940) En juillet 1940, il fait partie des 80 parlementaires qui refusent de voter les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain. Suspendu de ses fonctions de maire il set emprisonné cinq jours plus tard. Il sera assassiné le 25/07/1941.
Henri Cléret   (25/09/1940-21/04/1941)
Raoul Méchain   (21/04/1941-25/08/1944)
François Carrias   (25/08/1944-19/05/1945)
René Ribière   (19/05/1945-15/06/1946)
Lucien Menut   (15/06/1946-28/04/1950)
     Secrétaires de mairie
           - Georges Rougeron Jusqu'en novembre 1940 Secrétaire particulier de Marx Dormoy

           - René Ribière Adjoint au secrétaire général de la mairie, soupçonné de résistance et relevé de ses fonctions par le maire le 2 octobre 1942


Les 41 Justes parmi les Nations de l'Allier



Familles réfugiées à Montluçon [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.


36 Familles arrêtées (Montluçon) [Compléter]
08/1944
Famille Auchatraire - Charles, né le 22 janvier 1910, résistant, est arrêté et emmené à la caserne Richemont puis assassiné à la carrière des Grises le 14 août 1944 par la Gestapo avec 41 autres victimes.    
Date d'exécution :
14/08/1944

08/1944
Famille Audinat - Jean-Louis, né le 13 août 1900, cultivateur, résistant, est arrêté et emmené à la caserne Richemont puis assassiné à la carrière des Grises le 14 août 1944 par la Gestapo avec 41 autres victimes.    
Date d'exécution :
14/08/1944

13/04/1943
Famille Bastide - Denise participe, à partir de 1941, au Secours populaire français et au Front national de lutte pour l'indépendance dans le département de la Loire. Elle participe en 1943 à l'activité des Francs-tireurs et partisans de l'Allier, et est arrêtée le 13 avril 1943 à Montluçon, par la police, puis condamnée à six ans de réclusion, le 29 mars 1944, par le tribunal de Lyon. Elle est alors emprisonnée à Chalons-sur-Marne, puis à Romainville, avant d'être déportée à Ravensbrück, puis à Swodau, d'où les alliés la libèrent.    

08/1944
Famille Besson - Roger, né le 14 mars 1906, instituteur, résistant, est arrêté et emmené à la caserne Richemont puis assassiné à la carrière des Grises le 14 août 1944 par la Gestapo avec 41 autres victimes.    
Date d'exécution :
14/08/1944

08/1944
Famille Binet - Louis, né le 12 février 1887, confiseur, et Pierre, né le 21 octobre 1902, représentant livreur, résistants, sont arrêtés et emmenés à la caserne Richemont puis assassinés à la carrière des Grises le 14 août 1944 par la Gestapo avec 40 autres victimes.    
Date d'exécution :
14/08/1944

>> Voir les 36 familles arrêtées dans la commune <<


Chronologie [Ajouter]

19/06/1940 - Bombardement de Montluçon.
21/06/1940 - Entrée de l'avant-garde allemande à Montluçon (puis elle se retire).
22/06/1940 -  La France écrasée signe l'Armistice avec l'Allemagne à Rethondes. Le découpage de la France prévoit que Montluçon est en zone libre.
26/07/1941 - Assassinat de Marx Dormoy.
25/08/1942 - Rafle des Juifs étrangers effectuée par la police et la gendarmerie française dans la nuit du 25 au 26 août.
26/08/1942 - Rafle de 143 juifs à Montluçon.
11/10/1942 - Occupation de la zone libre. Les troupes allemandes s’installent à Montluçon.
11/11/1942 - Les Allemands et les Italiens se partagent la zone dite "libre".
06/01/1943 - Blocage d'un train requis par le STO à Montluçon.
29/06/1943 - Rafle de la Gestapo à la Maison des Roches au Chambon-sur-Lignon. Dix-huit pensionnaires et le directeur, Daniel Trocmé*, sont arrêtés. Ils seront déportés : cinq jeunes juifs mourront à Auschwitz et Daniel Trocmé à Maïdanek.
16/09/1943 - Bombardement des usines Dunlop par la RAF.
14/08/1944 - Massacre de la carrière des Grises.
24/08/1944 - Libération de Montluçon du 20 au 24 août 1944.
08/05/1945 - L'Allemagne capitule.


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Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Montluçon sur Wikipedia 
2 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" )
3 Le site du poète Pierre Emmanuel (Le site officiel du poète Pierre Emmanuel. Vous y trouverez aussi des pages sur sa vie et son action à Dieulefit durant la guerre, à Beauvallon, puis à la Roseraie. )
4 Guy Sanglerat, ancien membre du Coq Enchaîné (Le Coq Enchaîné était un réseau de résistance de la région qui pendant l'occupation allemande rassemblait des syndicalistes, des socialistes et des radicaux de la mouvance d’Édouard Herriot. Membre du réseau, Guy Sanglerat publie ses souvenirs.. )
5 Le Coq enchaîné (Le Coq enchaîné : un journal clandestin sous l'occupation allemande. Le premier numéro fait son apparition en mars 1942. Les membres du Coq Enchaîné mèneront aussi des actions de résistance. Il a compté jusqu'à 400 membres. Le réseau sera décimé en 1943. Guy Sanglerat raconte ... )
6 Les archives du conseil général de Savoie (La liste des 168 "travailleurs israëlites" en partance de Ruffieux, établie le 24 Août 1942. )
7 Là où coule le Gier (La guerre, énorme chaos bouleversant les vies. Tel est le décor dans lequel évoluent René et Aima. De leur jeunesse à leurs combats, l'auteur nous invite à les suivre dans cette aventure où chacun fera preuve d'un courage incroyable. Ce roman, basé sur des faits réels, nous emmène de la Vallée du Gier dans la Loire à Clermont-Ferrand et nous fait traverser certains camps de concentration en Allemagne en suivant le parcours de deux jeunes gens que la vie a forgé pour combattre aussi bien dans l'univers ouvrier des années 30 que pendant la seconde guerre mondiale avec leur implication dans la résistance. Cette plongée dans le passé a nécessité de nombreuses recherches suivies d'une longue enquête menée sur la vie de ces deux personnages. )
8 Marianne Cohn (Page dédiée à Marianne Cohn et à ses compagnons de résistance. Un mois avant d"être arrêtée, elle a sauvé ma tante Eva et mon père Maurice Finkelstein )
9 L'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 (Page consacrée à l'ouvrage "L'attentat de la Poterne, un drame au cœur de Clermont" (2015).
Cette étude sur l'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 recoupe des documents d'archive à des témoignages oraux et écrits. Elle reprend de manière chronologique les évènements, de l'attentat de résistants sur un détachement allemands à l'immensité des représailles qui ont suivi : incendie d'immeubles, nombreuses arrestations, déportations et condamnations à mort. )
10 "Objectif Lyon !"
11 Laurent Neury, l'espoir au bout du pont. Histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019
12 L'abbé André Payot, résistant et chef de réseau (Biographie détaillée d'André Payot et de ses activités de résistant durant la seconde guerre mondiale à Chamonix et Vallorcine (Haute-Savoie). Livre écrit par Jean-Luc de Uffredi, publié en 2019 aux éditions les Passionnés de bouquins. )

Notes

- 1 - Propos prêtés à Pétain par Adrien Marquet, alors ministre de l'Intérieur, cités par Robert Aron, Histoire de Vichy, p. 225.
- 2 - Montluçon, 1940-1944, par André Touret, éd. Créer
- 3 - Chronique d’une France occupée, les rapports confidentiels de la gendarmerie, J-M Pontaut et E. Pelletier, éd. Lafon, 2008
- 4 - Myriam Bourgeon, Montluçon sous l'occupation, pp. 70-73.

Annonces de recherche [Déposer une annonce]


***  camp de Noé recherche information sur Lucien Huart Déposée le 14/07/2022

    Bonjour,

    Mon grand-oncle, Lucien Huart (né le 09/07/1884 à Paris 14ème) a été arrêté administrativement et interné à la prison de Saint Michel de Toulouse (avec les frères Eugène et Marius Tricheux). En 1943, il fut interné au camp de Noé et où l'on perd sa trace.
    Si vous avez des informations à ce sujet, merci de communiquer avec moi.
    Lucien Heulle
    [répondre]

***  recherches sur les Justes Déposée le 30/07/2021

    je recherches des documents, temoignages des familles de justes merci [répondre]

***  Recherche famille LOUSTEAU ou LOUSTAU Déposée le 18/12/2014

    Entre juin 1941 et Septembre 1942, venus de Belgique via Cazeres-sur-Garonne, mon pere Benny et ses parents David et Dora WAGNER etaient refugies a Toulouse, au 52 rue Gravelotte. David travaillait comme typographe dans une imprimerie, peut-etre les Parchemins du Midi, dirigee par un monsieur LOUSTEAU ou LOUSTAU. Ce Mr Lousteau avait un frère, directeur à l’EDF, avec 2 usines d’électricité à Genève (Suisse), qui avait le droit de voyager entre France et Suisse comme il le désirait, et était membre du réseau de résistance du père Favre (école St François de Sales, à Ville-La-Grand). Il a ouvert la route vers la Suisse à toute ma famille (une douzaine de personnes). J’aimerais retrouver les descendants de ces deux frères Lousteau (ou Loustau). [répondre]
Répondue le 10/08/2020
    pour des motivations sans rapport direct avec votre recherche, j'ai pris connaissance de votre annonçe. J'ai toutes les réponses à vos questions. J'ai été très étonné par votre recherche, vous le serez en retour par ma réponse.
    Je me suis inscrit spécialement sur ce site de l'a.j.p.n. Je ne connais pas les modalités pour organiser une prise de contact. Toutes mes références précises sont à la disposition de l'a.j.p.n. dans l'attente, salutations
     
Répondue le 12/09/2020
    Réponse picbu : pour des motivations sans rapport direct avec votre recherche, j'ai pris connaissance de votre annonçe. J'ai toutes les réponses à vos questions. J'ai été très étonné par votre recherche, vous le serez en retour par ma réponse.
    Je me suis inscrit spécialement sur ce site de l'a.j.p.n. Je ne connais pas les modalités pour organiser une prise de contact. Toutes mes références précises sont à la disposition de l'a.j.p.n. dans l'attente, salutations
    Je suis très étonné de ne pas avoir de réponse à mon message. J’ai la réponse DOCUMENTEE et PRECISE à vos questions. Si j’ai bien compris les preSCRLPTions de l’AJPN je n’ai pas donné mes coordonnées et références dans le texte de ma réponse, j’ai pensé que l’AJPN vous les communiquerai. J’ai en effet donné toutes ces indications à l’organisme avec inSCRLPTion/mot de passe en confiance …! Dans l’attente de vos réponses – Sincères salutations – PPB

    12 septembre 2020
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***  Monette Déposée le 04/02/2020

    Qui pourrait me renseigner sur l'identité de « Monette » (premier amour de Boris Vian )
    Aux dires de certains, Monette ( Simone???) , probablement juive, se serait réfugiée en 1940 à Venerque (31810).
    [répondre]

***  Camp de la Noé, recherche information sur Jean Curtil Déposée le 23/05/2016

    Bonjour,
    Mon grand-père, Jean Curtil (né le 29/10/1915 à Lapeyrouse en Ain), a été transféré de la prison d'Eysses (matricule 2340, Lyon) au camp de la Noé, le 18/04/1944. Je cherche à savoir quand et comment il a quitté ce camp pour Compiègne (autour de mai 1944 ?).
    Si vous avez des informations à ce sujet, merci de communiquer avec moi. Céline Curtil.
    [répondre]
Répondue le 23/05/2017
    Bonjour Céline , je suis de Muret 31600 et j'ai un livre sur le camps de Noé ou sont énumérés les personnes qui ont transité par ce camps , je vais essayer de le retrouver et voir si le nom de votre grand père s'y trouve!
    Cordialement . Contarin Alfred .
     
Répondue le 27/06/2017
    Bonjour,
    Selon un dossier de demandes de recherches adressé au Service international de recherches de Bad Arolsen (Allemagne), votre grand-père aurait été transféré à la prison de Toulouse en 1944 (sans date précise), et non Compiègne, puis emmené en Allemagne, vraisemblablement comme STO. Il était employé à Münich à la firme Lorenz-Braren Cyclo Getriebebau, Dachauerstrasse 114, du 16 mai 1944 au 30 mars 1945.
    Les archives de ce Service international de Recherches ont été entièrement numérisées et sont consultables en France aux Archives Nationales, à Pierrefitte-sur-Seine. Le dossier en question est conservé Sous la référence TD 948398.
    Bien cordialement. MLP
     
Répondue le 02/08/2017
    Bonjour, j'aimerai que la personne qui vous répondu (Mr Contarin), si cela lui est possible, puisse me dire si mon grand oncle (petit frère de ma grand mère) est passé par le camp de Noé, en effet, résistant à 19 ans en mai 43, il a été arrêté en Haute Garonne et déporté à Buchenwald où il est mort en janvier 44. Il s'appelait Marcel(Joseph, Vidian) Rambouze,né le 30 mars 1923. Merci 
Répondue le 12/08/2017
    Je vous remercie de m'avoir répondu et d'avoir fait la démarche de vous renseigner auprès du Service international de recherches de Bad Arolsen. Entre temps, j'ai appris qu'il avait été transféré d'Eysses au camp de Noé le 18/04/1944. Il a ensuite été envoyé à la prison de Saint-Michel à Toulouse le 10/05/1944, puis à Münich le 20/05/1944. L'usine de la firme Lorenz a été bombardée en 1944...  

***  Recherche famille CAZENAVE Déposée le 18/12/2014

    Je recherche les descendants d'une famille CAZENAVE a Cazeres-sur-Garonne. Mr Cazenave etait un fermier proprietaire d'une grande ferme, qui a heberge mon pere Benny Wagner et mes grandparents David et Dora Wagner de mai a octobre 1940. David etait responsable des refugies belges. [répondre]

***  Recherche Déposée le 03/11/2014

    Je recherche toute personne ayant connu Marie Louise DUBOIS, demeurant à CUGNAUX, en 1944.
    Célibataire, originaire de la Marne, âgée de 22 ans, elle exerçait la profession de
    cuisinière, probablement auprès d'une unité militaire d'occupation.En 1945 ou 1946, elle demeurait à SAINT-SULPICE (81)
    [répondre]

***  recherche famille de Labarthe Déposée le 19/12/2013

    Mes parents, Elie et Marinette BABANI, tenaient un magasin "Robdor" à Toulouse. J'avais 3 ans, ils m'ont cachée, confiée à des personnes de leurs connaissances vivant à Labarthe/Leze, dans les années 1941/42.

    je voudrais tant retrouver ces personnes!!
    Merci à tous ceux qui pourront me donner des renseignements de me contacter au 06 59 06 09 43.
    moniksim@gmail.com

    Monique Babani (alias Bertrand)
    [répondre]

***  recherche grand-pere Déposée le 19/09/2013

    Je recherche mon grand-père, né en 1882 à Bellelicourt (02). Il est venu s'installe à Touille aux environs de 1914 (il habitait à l'ancienne usine en rentrant après le pont à droite). Il serait mort après 1933 car mon frère ainé l'a connu. Il est surement enterré à Touille. Ma grand-mère, Sidonie Hugot épouse Cocu est morte le 04/02/1932. Merci d'avance. M.CAHART [répondre]


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