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Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie dans les communes de France
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Val-de-Marne

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Jean Laloum Jean Laloum
Les Juifs dans la banlieue parisienne des années 20 aux années 50

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Laurent Galandon Laurent Galandon
Jeanne Puchol
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André Kaspi André Kaspi
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Les Orphelins de la Varenne, 1914-1944

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Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

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Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
L'étoile des Juifs

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Département du Val-de-Marne en 1939-1945


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Histoire
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.

Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin.
La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.

Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées.
Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice.

Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands. La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km : Ain, Allier, Charente, Cher, Dordogne, Gironde, Indre-et-Loire, Jura, Landes, Loir-et-Cher, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Vienne.
La Demarkationsline disparaîtra le 11 novembre 1942, après l’occupation totale de la France.

Les proscrits du régime
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils seront massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront. Les Tsiganes sont internés dans les camps français. Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.

Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.


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Toutes les communes du Val-de-Marne

Les camps et les lieux d'internement du Val-de-Marne

Fort d'Ivry-sur-Seine 94200 Ivry-sur-Seine
Fort de Montrouge 94110 Arcueil
Fort de Vincennes 94300 Vincennes
Prison de Fresnes 94260 Fresnes

Les lieux de sauvetage du Val-de-Marne

Centre d'accueil du sauvetage de l’Enfance 94230 Cachan
Compagnie des Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul 94240 L'Haÿ-les-Roses
Couvent de Nogent-sur-Marne 94130 Nogent-sur-Marne
Couvent du Sacré-coeur Ablon 94480 Ablon-sur-Seine
École Lacordaire 94340 Joinville-le-Pont
Fondation Berne 94500 Champigny-sur-Marne
Institution Saint-Maurice 94410 Saint-Maurice
Maison des orphelins de La Varenne 94100 Saint-Maur-des-Fossés
Monastère Saint-Michel 94550 Chevilly-Larue
Orphelinat Granville Saint-Mandé 94160 Saint-Mandé
Pension Barbe 94120 Fontenay-sous-Bois
Pension Bella Vista 94500 Champigny-sur-Marne
Pension Zysman 94100 Saint-Maur-des-Fossés

Les 62 Justes parmi les Nations du Val-de-Marne


22 Familles hébergées, cachées ou sauvées du Val-de-Marne[Compléter]

Champigny-sur-Marne

1942 - 1945 Famille Behmoeras - Alfred Behmoeras, Georges et Nicole

1942 - 1945 Famille Brandamir - Maurice

09/1942 Famille Bring - Albert* et Élia Lecoq*, Justes parmi les Nations, ont recueilli chez eux à Champigny-sur-Marne une petite fille de 4 ans et demi, Édith Bring, dont les parents avaient été arrêtés parce que Juifs en 1942 et déportés sans retour vers Auschwitz.

1942 - 1945 Famille Cohen - Simon, Joseph, Claude, Albert et Gabriel

1942 - 1945 Famille Eskenazi - Henri Salomon

1942 - 1945 Famille Grimberg - Bernard et son frère

1942 - 1945 Famille Levy - Salomon

1942 - 1945 Famille Pallaci - Samuel, Jacques et Henri

1942 - 1945 Famille Saguez - Samuel

Fontenay-sous-Bois

1943 - 1944 Famille Adato - Fin 1943, Jacques Adato, né en 1937, est envoyé à la Pension Barbe à Fontenay-sous-Bois. Il y restera un an.

>> Voir les 22 familles réfugiées dans le département <<

49 Familles arrêtées dans le département [Compléter]

Arcueil
15/12/1942 Famille Casanova - Danielle née Vincentella Perini, le 9 janvier 1909 à Ajaccio (Corse), militante communiste et résistante, est arrêtée par la police française le 15 février 1942 alors qu'elle ravitaillait Georges Politzer et sa femme. Emprisonnée à la prison de la Santé puis au fort de Romainville fin août 1942, elle est déportée à Auschwitz le 24 janvier 1943. Elle y sert dans l'infirmerie du camp en tant que chirurgien-dentiste. Elle ne cesse jamais de militer, organisant publications et manifestations clandestines au dépôt, puis au fort, et finalement la solidarité dans le camp de concentration. Elle décède du typhus le soir du 9 mai 1943.
Déportation : 24/01/1943


15/12/1942 Famille Politzer - Marie, dite Maï Politzer, née Lacarde le 15/8/1906, originaire du Pays Basque, communiste, résistante, est l'épouse de Georges Politzer, philosophe et théoricien marxiste français d'origine hongroise, communiste et résistant. Sage-femme diplômée, Maï est employée à la mairie d'Arcueil comme sténo-dactylo en 1935 et devient la secrétaire du maire Marius Sidobre. A l'automne 1939, le conseil municipal communiste d'Arcueil est suspendu et le poste de Maï "supprimé d'office". Louis Marfand, Président de la Délégation Spéciale d'Arcueil, l'affecte provisoirement au secrétariat du dispensaire municipal. Elle est révoquée le 26 mai 1940 à la demande des services préfectoraux dont l'attention a été attirée sur cette "militante communiste" qui "continue d'exercer son activité néfaste". Militants et résistants, Maï et Georges Politzer sont arrêtés par la police de Vichy le 15/12/1942 à leur domicile, rue de Grenelle, en même temps que Danielle Casanova venue les ravitailler. Georges est torturé puis fusillé le 23 mai au Mont Valérien. Maï, internée à Romainville, est ensuite déportée à Auschwitz le 24/1/1943 dans le convoi "des 31.000" avec Danielle Casanova, Marie-Claude Vaillant-Couturier, Charlotte Delbo ... Elle décède du typhus le 6/3/1943 sous le matricule 31680.
Déportation : 24/01/1943

Champigny-sur-Marne
09/1942 Famille Bring - Michel, 38 ans, médecin acupuncteur, Juif roumain, né le 7 mars 1904 à Moinesti, et son épouse Dora, 42 ans, pianiste, née Silberherz le 31 août 1900 à Galati (Roumanie). Le couple a quatre enfants. Ils étaient réfugiés à Cœuilly, un quartier de Champigny. Dora est arrêtée parce que Juive le 25 septembre 1942 et Michel Bring est arrêté à son tour le 28 septembre 1942. Ils sont internés à Drancy et seront déportés sans retour vers Auschwitz.


07/1942 Famille Francblum - Sura, 54 ans, née en 1888 à Lublin (Pologne), Israël, 26 ans, né le 26/01/1916 à Lublin, Brandla, 22 ans, née le 03/05/1920 à Lublin, Louise, 15 ans, née le 02/01/1927 à Paris, habitaient 22, rue des Platanes à Champigny. Arrêtés parce que juifs, ils sont déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz. Sura, Brandla et Louise le 24/07/1942 par le convoi n° 10 et Israël le 26/09/1942.
Déportation : 24/07/1942 convoi no 10
JO : Mémorial de la déportation des Juifs de France, Beate et Serge Klarsfeld, Paris 1978


08/1942 Famille Kac - Abraham, 45 ans, né le 05/09/1897 à Radom (Pologne), Élise, 31 ans, née le 04/10/1911 à Minsk (Biélorrusie) et leurs enfants, Paul, 12 ans, né le 25/06/1930 à Joinville, et Boris, 11 ans, né le 13/08/1931 à Paris, habitaient 21, rue de Villiers à Champigny. Arrêtés parce que Juifs, ils sont déportés sans retour vers Auschwitz. Abraham et Boris sont déportés par le convoi n° 24 le 26/08/1942 et Élise et Paul sont déportés par le convoi n° 35 le 21/09/1942.
Déportation : 26/08/1942 convoi no 24
JO : Mémorial de la déportation des Juifs de France, Beate et Serge Klarsfeld, Paris 1978

>> Voir les 49 familles arrêtées dans le département <<

Chronologie [Ajouter]

7/04/1942 - François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
10/1940 - Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
20/08/1941 - Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
16/07/1942 - 16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.


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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Albert Szerman, rescapé des rafles du Vél d'Hiv' et de La Varenne (Le 20 mai 2012, une cérémonie de reconnaissance des sauveurs d'Albert Szerman, les Justes Solange* et Henri Ardourel*, s'est déroulée à la Salle polyvalente de Crouy. Témoignage d'Albert Szerman. )
4 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
5 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
6 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )

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***  cherche famille de cet enfant Déposée le 02/04/2019

    Qui peut me donner des renseignements sur cet enfant ?
    Famille, ami(e)s , etc.
    Cette photo a été déposée au Mémorial de la Shoah de Paris.
    Elle était dans un album à une exposition photographique : un regard sur l'immigration et l'intégration des juifs de France 1880-1948 .
    Exposition du mois d'octobre 2012, Paris V.
    On m'a confirmé qu'il a 8 ans sur la photo, je possède aussi cette photo, mais il n'y a aucune date derrière.
    Je sais que cet enfant s'est caché avec sa mère dans des moulins et des granges à Ivry-sur-seine (94).
    [répondre]

***  Rafle a Limeil-Brévannes entre 1940 et 1945 Déposée le 27/12/2018

    Pendant la seconde guerre mondiale mon pere William Jungerman ne en 1930 a ete cache dans une ferme a Limeil-Brévannes situé dans le Val-de-Marne. Un jour alors que mon pere que l'on apellait aussi Willy s’était rendu au village, les Allemands débarquèrent et le prirent ainsi que neuf autres hommes pour les fusiller en represaille d'un fait d'arme de la resistance. C’est alors qu’un homme dans l’assistance sorti du rang et dit « Vous n’allez pas prendre un enfant. Je prends sa place. » Ils ont tous été fusillés. Cet homme a donné sa vie pour sauver celle de mon pere. Apres guerre mes grand parents ont essaye de retrouver la famille de cet homme mais sans succes, j'essaye a mon tour. [répondre]
Répondue le 15/02/2019
    Bonjour,
    Piste possible :
    - Archives municipales de Limeil Brevannes.
    - Journaux de l'époque (Gallica)
    - Périodique de la ville.
    Il semblerait que ces hommes aient été capturés comme otage sans qu'on sache s'ils étaient résistants ou pas.
    Ils ont vraisemblablement été considérés comme "morts pour la France" et donc enregistrés comme tels.
    Sans connaissance des noms c'est un peu difficile de rechercher, néanmoins pas impossible.
    Cordialement,
    JD
    JD
     
Répondue le 15/02/2019
    Bonjour de nouveau,
    Il semblerait qu'il y ait à Limeil Brevannes, une "rue des Fusillés".
    Qui sont-ils ?
    A voir donc auprès de la mairie.
    Cordialement,
    JD
     

***  Qui sont-Ils ? Déposée le 16/07/2015

    Après le décès de ma mère, j'ai trouvé cette photo probablement prise en 1944 ou début 1945, à Alfortville Chemin Latéral, j'ai reconnu le lieu nous demeurions 83 rue de Seine, immeuble qui fait le coin avec le Chemin latéral, et :
    1 - Ma Mère Odette Demesse née Hérubel
    2 - Ma sœur
    3 - Moi
    Les 3 autres adultes ainsi que le petit garçon me sont inconnus.

    Je remercie toute personne qui pourrait mettre un nom sur ces visages et, peut-être me fournir des informations sur ces personnes.

    Mon père René Demesse a été arrêté à notre domicile le 30/06/1944 par la BDS, puis interné à Fresnes le 02/07/1944 matricule 14550 cellule 404 ; le 15/08/1944 déporté "politique", par le convoi 1264 à Buchenwald matricule 77378, enfin au kommando d'Hecht (Holzen) le 21/11/1944. Le 23/03/1945 retour sur Buchenwald où il est décédé au blok 52 le 03/04/1945
    Je n'ai jamais pu connaître le motif de son arrestation ni s'il était ou non dans la résistance.

    Par avance, merci à vous.

    Bien cordialement
    Christiane Demesse
    [répondre]
Répondue le 10/05/2016
    Bonjour, si c'est toujours d'actualité, pour votre père, vous pouvez demander des informations au bureau des archives des victimes des conflits contemporains BAVCC de Caen, rue Neuve Bourg L'Abbé, 14037 Caen cedex. J'ai moi même trouvé pour mon grand père déporté, les raisons et les détails de l'arrestation ainsi que les différents lieux de déportation, la cause du décès et le lieu. J'ai découvert également qu'il faisait partie de la résistance, le nom de son groupement, son grade et qu'il a été reconnu mort pour la France. Les délais de réponse sont environ d'un mois. Cordialement
     
Répondue le 25/05/2016
    Bonjour,je vous remercie pour votre réponse. J'ai en effet fait les recherches dont vous parlez, malheureusement, le dossier de mon père est pratiquement vide. Ma demande à Bad Arolsen ainsi que mon voyage à Buchenwald, ont été plus fructueux.
    Cette photo publiée reste un mystère, ce que je recherche maintenant, c'est l'identité, principalement de ce jeune homme en uniforme.
    Encore merci à vous. Cordialement
     
Répondue le 13/08/2018
    J HABITAIT CHEMIN LATERAL PENDANT LA GUERRE,MON PERE GEORGES FRITSCH TRAVAILLER POUR LA RESISTANCE ET NOUS ETIONS AMIS AVEC LES HABITANTS DE L IMMEUBLE AU COIN DE LA RUE LE 83 ,NOUS ALLIONS LE SOIR PENDANT L ALERTE DANS LA CAVE DU 83 ,AVEC UNE FAMILLE APPELER FADIEFF, IL Y AVAIT UN DOCTEUR JUIF DANS L IMMEUBLE AUSSI,ARRETER EN 1944,JE VOUS REMERCIE A L AVANCE POUR TOUTE INFORMATION ,AMITIEES ,GERARD FRITSCH , 
Répondue le 06/10/2018
    cette famille a ete prise en photo devant ma maison ,mamere etait la concierge de l immeuble 83 ,merci
    gerard fritsch ,e mail ,gerardone@optusnet.com
     

***  Francblu Déposée le 16/01/2016

    Les dates ne sont hélas pas précises, mais la famille de résistants canavérois LIMPENS dont Constantin Joseph LIMPENS, alias Commandant LAMBERT, artisan imprimeur résistant qui fut le chef et créateur de 4 réseaux "Front National" locaux (FN 23, 24, 25 et 45, environ 300 membres) hébergea, nourrit, protégea clandestinement pendant plusieurs semaines une partie de la famille juive polonaise FRANCBLU de Coeuilly-Champigny. Cet hébergement fut entrepris après que la Résistante Madeleine BOS, infirmière libérale, ait secrètement mis en relation ces personnes avec les LIMPENS, 4 autres membres de leur famille (3 femmes, 1 homme) ayant été préalablement déportées à Champigny en juillet 1942. Le lieu où ces 5 personnes (3 hommes, 1 femme, 1 petite fille) furent cachés était celui de l'Imprimerie du Fort, 7 avenue du Centre à Chennevières, atelier appartenant à cette famille. De nombreux documents (faux papiers, tracts, affiches, etc.) y furent d'ailleurs imprimés dans la clandestinité, pour la Résistance. A ce jour, nous ne pouvons pas fournir d'autres témoignages sur ce sujet que celui extrait d'une interview faite au sujet de la Résistance locale par M. Constantin Pierre Limpens, alias Jean SOL, fils du résistant cité, décédé et des attestations FTP-FFI où ce fait est brièvement relevé, sans autre précision. L'objet de cette intervention étant, si possible, de retrouver des témoignages ou documents qui pourraient accréditer cette protection. Merci pour votre réponse. Christian LIMPENS kerizan56@hotmail.fr [répondre]

***  Ecole Paris Déposée le 29/07/2015

    Bonjour,
    Je cherche le nom de cette école de fourrure, je pense que la photo a été prise entre 1926-1928 à Paris.
    J'ignore l'arrondissement.
    Qui peut m'éclairer ?
    Cordialement
    [répondre]

***  recherche descendance de "Abale LEK" Paris Déposée le 15/05/2015

    Je recherche la descendance éventuelle d'un certain "Abale LEK" que mon grand oncle Simon Sigal a connu dans le camp de birkenau durant la seconde guerre mondiale (Simon y fut de juin 1942 à environ oct/nov 1943), puis dans le camp de concentration situé à varsovie (où Simon fut vers oct/nov 43), camp bâti vers aout 1943 et dans lequel ils furent envoyés d'auschwitz.C'est au retour de ce camp vers auschwitz (date imprécise)que Simon dans son témoignage audiovisuel dit que, ayant marché de ce camp de concentration à Varsovie vers les environs de Kutno en pologne, ils prirent un train.Or Simon parvint à s'échapper de ce train en compganie de 4 autres détenus qu'il nomme oralement "Abale LEK", "André Tcherkes" , "Maurice " et "Lazar" (ce dernier avait un frére Fréd qui fut tué dans les environs de Kutno par les nazis).Simon se cacha dans la campagne polonaise et retrouva son ami "Abale LEK". Ils se revirent aprés guerre à Paris où "Abale LEK" a vécu aprés la guerre.je serais reconnaissant à toute personne qui pourrait avoir connu cet "Abale LEK" qui fut un trés grand ami de captivité de mon grand oncle qui rallia la palestine en début 1945 et décéda en 2002 à Haifa en Israel sans descendance.
    Je ne peux être certain de l'orthographe du nom de son ami car cité oralement.
    Je suis également désireux de contavter toute personne qui aurait connu d'autres survivants ayant été dans ce camp de concentration à Varsovie appelé "gesiowka" du fait d'une rue de varsovie.merci
    [répondre]

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