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Paris

Région :
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Département :
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(14/05/1941 - 01/06/1942) Amiral François Marc Alphonse Bard, Préfet de police de la Seine (1889-1944)
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(01/06/1942 - 19/08/1944) Préfet de police de la Seine lors de la rafle du Vél d’Hiv (1886-1953)
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(19/08/1942 - 19/08/1944) Préfet de la Seine. Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
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(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
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Léon Ashkénasi

dit Manitou
Texte pour ecartement lateral

Paris 75000 Paris
Nom de naissance: Yehouda Ashkenazi
Date de naissance: 1922 (Oran)
Date de décès: 1996
Nationalité : Français
Profession: Rabbin, kabbaliste et philosophe
Qualité: Résistant juif
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Leon-Ashkenasi
A Orsay, de g. à dr. : Bambi (Esther), Pivert (Denie Gamzon), Manitou (Léon Ashkenazi) et les enfants Myriam et Élie
source photo : Judaïsme SDV
crédit photo : © E-B. Weill
Leon-Ashkenasi
Manitou
source photo : Arch. fam.
crédit photo : D.R.
Histoire

Témoignage de Léon Ashkénasi

L'histoire de ma vie ne présente aucun caractère d'exemplarité particulière, sinon qu'elle est représentative d'une grande mutation d'identité qui s'est produite au sein du peuple juif.

Mon père a été le dernier Grand Rabbin des Juifs d'Algérie. C'est là la fin de toute une communauté. Apparemment, cette fin s'explique par la décolonisation de l'Algérie et le départ des Français auxquels se sont adjoints l'immense majorité des Juifs vivant en Algérie, citoyens français depuis le siècle dernier. Mais ce n'est qu'une apparence. En effet, il s'agit de l'un des bouleversements démographiques et historiques qui ont affecté la judaïcité contemporaine. Il s'inscrit dans le cadre des événements qui s'annonçaient déjà depuis la deuxième guerre mondiale et qui prendront toute leur signification avec l'apparition de l'État d'Israël.

Je suis né Juif algérien – citoyen français par ailleurs – et pendant toute la première partie de ma vie, qui s'est déroulée en Algérie jusqu'à la seconde guerre mondiale, je me suis donc connu, sans prêter trop de signification à ces définitions – comme un Français d'Algérie, de religion juive.

La deuxième partie de ma vie – après la guerre – s'est déroulée en France où j'ai découvert l'immense complexité sociologique du peuple juif et de son histoire, en rencontrant – moi qui suis d'origine séfarade – le judaïsme achkénaze.

La troisième partie de ma vie se passe en Israël, en tant qu'Israélien. C'est donc, dans un style particulier, un exemple de la mutation d'identité qui transforme, de notre temps, le peuple juif en nation hébraïque ou plus exactement, qui transforme un Juif en Israélien.

Une grande partie de mon existence, j'ai été Juif de la diaspora et j'ai encore en mémoire la prise de conscience de l'identité juive de diaspora, identité qui continue à exister parallèlement ou autour de la société israélienne. Je sais par expérience qu'un Juif de diaspora comprend difficilement la réaction de conscience de l'Israélien concernant le fait que les quatre cinquièmes du peuple juif ne semblent pas touchés par cette mutation d'identité. Il est indéniable qu'il existe une solidarité – non pas de destin, terme étranger à la tradition juive – mais de destinée historique, commune à l'ensemble du peuple juif. Et c'est pourquoi, il m'a semblé nécessaire d'exprimer, en français, pour le public français, cette réaction de conscience de l'Israélien contemporain.

LA FAILLE DANS NOTRE RELATION À L'IDENTITÉ FRANÇAISE
La guerre est arrivée en 1939 et, né en 1922, je n'étais pas encore en âge d'être mobilisé. Et puis, la guerre a été perdue. Nous avons vécu des mois et des années très pénibles en découvrant la Shoah et ce qu'avait été le vécu du judaïsme européen. En 1942, a eu lieu le débarquement des Alliés et là se situe, de façon très profonde, l'une des premières prises de conscience de bien des Juifs algériens : il y avait une faille dans notre relation à l'identité française.

Les lois du régime de Vichy étant appliquées en Algérie, nous n'étions plus considérés comme des citoyens français à part entière. On nous avait d'ailleurs donné des cartes d'identité française portant la mention « Juif indigène algérien ». Pour la plupart d'entre nous, c'était un mauvais moment à passer ; la France n'était plus elle-même mais ce n'était pas la France réelle qui nous avait retiré notre citoyenneté.

C'était le régime de Vichy sous la pression des Allemands et nous attendions de retrouver notre nationalité française avec la victoire des Alliés. C'est là que se produisit, pour les Juifs algériens, un événement que les hommes de ma génération ont vécu de façon intense et qui a été – je m'en aperçois a posteriori – l'une des raisons de ma décision de devenir Israélien. En effet, après le débarquement des Alliés, les lois d'exception contre les Juifs ont continué à être en vigueur alors que le territoire de l'Algérie faisait partie du monde libéré. Nous avons vécu là quelques mois d'incompréhension totale : bien que la victoire soit arrivée en Algérie, les Juifs, bien que citoyens français, restaient soumis aux lois d'exception. Je ne sais pas s'il n'y avait pas là un clin d'œil de la Providence pour nous montrer que nous n'étions pas Français mais Juifs indigènes.

Cette situation juridique provenait du fait que les Alliés s'étaient appuyés en Algérie sur les cadres du régime de Vichy, et il fallut attendre que de Gaulle vienne en Algérie pour que la citoyenneté française soit rendue aux Juifs.

Nous avons donc été mobilisés en tant qu'étrangers et, en particulier, dans la Légion étrangère. L'immense majorité des Juifs rassemblés dans le camp de la Légion pensait qu'il s'agissait d'une péripétie de l'Histoire et que le temps viendrait où l'on nous rendrait la citoyenneté française. J'ai été au camp de Bedeau de 1943 à 1944, puis j'ai fait la guerre dans la Coloniale, un corps de métier de l'infanterie française. Ce que j'ai vécu au cours de cette période a certainement travaillé souterrainement et, au moment où j'ai rencontré la réalité israélienne, cela s'est dénoué tout naturellement. Au fond, si j'avais dû vivre en diaspora, je me serais davantage considéré comme un Juif algérien de culture française que comme un Juif français de culture algérienne. L'Algérie est devenue par la suite un pays arabe et je ne pouvais pas me considérer comme un Arabe.

Encore aujourd'hui, je n'arrive pas à comprendre la manière dont les Juifs nord-africains en France se considèrent comme Français. Indépendamment du caractère anti-Juif ou anti-israélien des pays arabes, il ne leur vient pas à l'idée de se considérer comme des Arabes mais comme des Français. Cette attitude relève du racisme. Elle s'explique par le fait que les Juifs considèrent que l'indice culturel français est supérieur à l'indice culturel arabe. Ce qui est objectivement un non-sens parce que ces cultures ne se mesurent pas aux mêmes critères. Mais il y a une évidence pour un Juif qui a vécu en pays d'islam : la différence entre le Juif et l'Arabe n'est pas seulement d'ordre religieux, elle est aussi d'ordre national. Cette double différence n'existe pas par rapport à l'Européen. C'est l'un des éléments qui explique la perpétuation de la diaspora en milieu européen.

A posteriori, ce fut pour moi une expérience très enrichissante de connaître ce milieu de la Légion étrangère, mais nous n'étions pas organisés en tant que Juifs pour pouvoir développer en nous la conscience nationale. Nous nous considérions comme une espèce de minorité de type diasporique. La vie religieuse dans le camp était très intense et c'est là peut-être que j'ai commencé à comprendre la condition d'exil, dont je me suis complètement débarrassé en devenant Israélien.

J'ai senti que je n'étais pas chez moi et que, par conséquent, je n'avais aucun droit à réclamer. Je ne pouvais qu'essayer, par une stratégie de soumission, d'obtenir des faveurs.

C'est ainsi que la définition de la condition d'exil m'est apparue à ce moment-là. Je suis parti avec l'Armée d'Afrique et j'ai été blessé à Strasbourg quelques semaines avant la victoire. En route pour une permission de convalescence, je me trouvais permissionnaire à Marseille où j'ai vécu la grande fête de l'Armistice sur la Canebière. Le contingent de permissionnaires dont je faisais partie a été ramené en Algérie dans un bateau de guerre qui a été dérouté sur le département de Constantine parce qu'au même moment éclataient les premières révoltes nationales arabes. J'ai vécu la Shoah comme si elle m'avait atteint personnellement, bien que ma communauté n'ait pas été directement menacée, contrairement à la communauté juive de Tunisie, pays où les Allemands avaient débarqué.

En Algérie déjà, je m'étais senti personnellement concerné par le fait que le régime de Vichy avait préparé l'extermination des Juifs. On a découvert, à l'arrivée des Alliés, que des listes d'otages avaient été préparées. En tant que fils du Grand-Rabbin de la ville, je figurais d'ailleurs sur la première liste.

Dans un premier temps, nous pensions qu'il s'agissait de persécutions portées à leur paroxysme. Ce n'est que dans la découverte concrète, après la guerre, quand nous avons rencontré les rescapés sortis des camps, que nous avons compris qu'il y avait là une tentative d'anéantissement du peuple juif en tant que nation.

Je suis personnellement lié à la Shoah, puisque lors de la première promotion de l'École d'Orsay, j'ai rencontré celle qui est devenue ma femme et qui est orpheline d'une famille disparue à Auschwitz.

04/04/2011
Auteur : Léon Ashkénasi Lien : Fondation Manitou

[Compléter l'article]

Manitou et Bambi

Esther (Bambi) suit un cours accéléré d’assistante sociale. Micheline Bellair* (Topo), insiste pour qu'elle soit acceptée à l'école des cadres Gilbert Bloch d'Orsay.
Elle va y rencontrer Léon Ashkenazi (Manitou), son futur mari.
Le mariage a eu lieu, l’été suivant, à Oran.
Ils auront cinq enfants.

04/04/2011

[Compléter l'article]

Chronologie [Ajouter]
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
4 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
8 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )

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