Soutenez le travail de l'AJPN
  Recherche de personne, de lieu : affiche la page   Recherche type Google : propose des pages  
 
 
Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France
1 annonces de recherche
39/45 en France (WWII)
base des données identifiées par AJPN.org
Nouveaux articles
Une page au hasard
38080 noms de commune
95 départements et l'étranger
1230 lieux d'internement
744 lieux de sauvetage
33 organisations de sauvetage
4342 Justes de France
1072 résistants juifs
15986 personnes sauvées, cachées
Expositions pédagogiques AJPN Exposition pédagogique 2e Guerre mondiale : la guerre, l'occupation, la vie quotidienne, les lois antisémites, les rafles, les justes, les enfants cachés, les rescapés, les témoins L'enfant cachée
Das versteckte Kind

Chronologie 1905/1945
En France dans les communes
Les Justes parmi les Nations
Républicains espagnols
Tsiganes français en 1939-1945
Les lieux d'internement
Les sauvetages en France
Bibliothèque : 1386 ouvrages
Cartographie
Glossaire
Plan du site
Signaler un problème technique
Imprimer cette page
Ariège

Région :
Occitanie
Département :
Ariège

Préfets :
Léopold Chénaux de Leyritz
(25/06/1940 - 24/01/1944) Léopold Marie Frédéric Chéneaux de Leyritz, Préfet de Haute-Garonne et préfet régional de la région de Toulouse à partir de 1941 (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1896-1970)
) secrétaire général de la sous-préfecture de Saint-Girons (Ariège), résistant
André Sadon
(24/01/1944 - 06/02/1944) André Paul Sadon, Préfet régional de la région de Toulouse (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1891-1965)
Jean Cassou
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République de la région de Toulouse (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1897-1981)
Pierre Berteaux
(1944 - 1946) Pierre Félix Berteaux, Commissaire régional de la République de la région de Toulouse (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1907-1986)

À lire, à voir…

Monique-Lise Cohen Monique-Lise Cohen
Eric Malo
Les camps du Sud-Ouest de la France, 1939-1944

ACHETER EN LIGNE

Arlette Lipszyc Arlette Lipszyc
En quête de mon père Jankiel Lipszyc, Skierniewice (1898)-Miremont (1944)

ACHETER EN LIGNE

Denis Peschanski Denis Peschanski
La France des camps : L'Internement, 1938-1946

ACHETER EN LIGNE

Frank Ristorcelli Frank Ristorcelli
Aulus-les-Bains Auschwitz

ACHETER EN LIGNE

Sylvie Goll-Solinas Sylvie Goll-Solinas
Vous êtes venus me chercher

ACHETER EN LIGNE

Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
Adieu les enfants (1942-1944)

ACHETER EN LIGNE

Serge Legrand-Vall Serge Legrand-Vall
La rive sombre de l'Ebre

ACHETER EN LIGNE

Geneviève Dreyfus-Armand Geneviève Dreyfus-Armand
Septfonds, 1939-1944. Dans l'archipel des camps français

ACHETER EN LIGNE

Hervé Mauran Hervé Mauran
La Résistance espagnole en Cévennes (Les lieux de mémoire)

ACHETER EN LIGNE

David Lilienfeld David Lilienfeld
La Vie Quotidienne des Juifs en Ariège 1940-1945

ACHETER EN LIGNE

Alfred Roger Coutarel Alfred Roger Coutarel
Itinéraire d’un résistant des Cévennes à la Libération

ACHETER EN LIGNE

Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
La Shoah en France

ACHETER EN LIGNE

michel Fabre michel Fabre
La Micheline de 18h23

ACHETER EN LIGNE

Simonne Chiroleu-Escudier Simonne Chiroleu-Escudier
Mireille Chiroleu
Eric Escudier
La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943

 

Patrick Cabanel Patrick Cabanel
Cévennes, un jardin d'Israël

ACHETER EN LIGNE

Anne Grynberg Anne Grynberg
Les camps de la honte : Les internés Juifs des camps français

ACHETER EN LIGNE

Philippe Joutard Philippe Joutard
Jacques Poujol
Patrick Cabanel
Gilbert Badia
Cévennes - Terre de Refuge 1940-1944

ACHETER EN LIGNE
[Ajouter un ouvrage]

Camp répressif

Camp du Vernet-d'Ariège
durant la Seconde Guerre mondiale (WWII)

Texte pour ecartement lateral Commune : 09700 Le Vernet
- Ariège

Période d'activité: Début 1939-15 juin 1944
Superficie: 50 ha : 20 baraquements de 33 m sur 6 dont 7 étaie
Capacité: Février 1940 : effectif de 2063 (dont 800 Juifs)
Population internée: Réfugiés espagnols, Juifs

[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo]

Camp-du-Vernet-d-Ariege
"José Panicello / camp du Vernet". Gouache sur papier épais, 273 mm x 160 mm, original
source photo : Jean Vircoulon
crédit photo : D.R.
Camp-du-Vernet-d-Ariege
Vue aérienne des environs du camp du Vernet 1942
source photo : IGN
crédit photo : D.R.
Camp-du-Vernet-d-Ariege
Détenus, probablement des Juifs nés à l’étranger, au camp d’internement de Vichy au Vernet. France, 1940 ou 1941.
source photo : Beth Hatefutsoth, The Nahum Goldmann Museum of the Jewish Diaspora
crédit photo : D.R.
Camp-du-Vernet-d-Ariege
Photo de communistes, camp indéterminé. Photo, 138 mm x 88 mm, original. Titre des journaux : L'Humanité, Le Populaire, Travailleur
source photo : Jean Vircoulon
crédit photo : D.R.
Histoire

Le camp du Vernet d'Ariège 1939-1944

Dès 1939, après la défaite de la République espagnole, le Camp du Vernet d’Ariège sert à regrouper les 12 000 combattants espagnols de la Division Durruti.
A la déclaration de la guerre, les étrangers « indésirables » intellectuels antifascistes, membres des Brigades internationales,… sont internés au Vernet dans des conditions terribles décrites par l’écrivain Arthur Koestler (lui-même interné) dans « La lie de la terre » En 1940, devenu camp répressif, on y interne tous les étrangers considérés suspects ou dangereux pour l’ordre public. A partir de 1942, il sert aussi d’internement de transit pour les juifs arrêtés dans la région. Au total environ 40 000 personnes de 58 nationalités ont été internées dans ce camp, des hommes principalement, des femmes et des enfants.

Le 30 juin 1944 l’ordre d’évacuation du camp du Vernet d’Ariège est donné. Les internés sont transférés à la caserne Caffarelli de Toulouse. Des détenus de la prison Saint-Michel les rejoignent. Le matin du 3 juillet 1944 plus de 500 personnes se trouvent entassées dans un train formé de wagons à bestiaux. Ce convoi, surnommé le « Train fantôme » du fait de son parcours particulièrement chaotique, va errer sur le réseau ferroviaire français jusqu’au matin funeste du 28 août, date de son arrivée à Dachau.

17/06/2008

Source :
hk
Lien : Le camp du Vernet d'Ariège

[Compléter l'article]

Camp du Vernet d'Ariège: Histoire de l'internement organisé des «étrangers indésirables»

«Sono la figlia di Mazzei Emelio, internato qui nall’anno 1942, arrestato a Tarbes en 1942»

Sur le cahier du petit musée du Vernet d’Ariège, les dizaines de mots laissés avec émotion ont des accents internationaux.

A l’image des prisonniers qui sont passés par le camp d’internement spécialement conçu pour les étrangers, qui a fonctionné au Vernet d’Ariège de 1939 à 1944.

De cette histoire, il ne reste aujourd’hui que les deux poteaux d’entrée du camp, un cimetière, et la gare d’où arrivèrent d’abord les Espagnols en exil et des membres des brigades internationales, et d’où repartirent d’autres trains, vers la déportation pendant la seconde guerre mondiale.

Il reste aussi une mémoire toujours vivante, transmise notamment par «l’amicale des Anciens internés du camp du Vernet d’Ariège»

Aujourd’hui, des enfants d’internés ont repris le flambeau, comme son président Raymond Cubells, dont le père (républicain espagnol) a séjourné trois semaines au camp.

«Le camp en lui même est construit en 1918 pour héberger les troupes coloniales, les tirailleurs sénégalais de l’armée française» explique-t-il.

Il fonctionne ensuite peu en tant que base militaire, et est utilisé à partir de février 1939 pour enfermer les soldats de l’armée républicaine espagnole fuyant le franquisme, dans le contexte tendu de l’entre deux guerres.

De Février à Septembre 1939, il n’y a donc que des Espagnols, ainsi que des membres des brigades internationales ayant combattu en Espagne dans le camp.

Le centre est choisi par la «commission de recherche de camps de concentration et de rassemblement» réunie à Foix qui décide d’y transporter les 12 000 hommes de la division Durruti (composée d’anarchistes espagnols) réfugiés à La Tour de Carol.

Ensuite la guerre éclate, le camp devient un camp répressif pour étrangers «suspects», jugés indésirables.

Dans une circulaire du ministère de l’intérieur de septembre 1939, Le Vernet est d’ailleurs décrit comme étant un lieu de rassemblement pour les étrangers «indésirables, dangereux pour la défense nationale»

L’internement devient massif. «au plus fort, en juillet 1939, pendant la période des espagnols en juillet 1939, il y a eu jusqu’à 15 000 personnes, ce qui représente en gros la ville de Pamiers» précise Raymond Cubells.

En octobre 1939, les effectifs du camp comptent 900 personnes. 1200 environ début novembre, et jusqu’à 5000 en février 1940.

Au mois d’août 1940, la population du camp atteint son maximum avec près de 5000 internés de 60 nationalités.

Dans le sud-ouest de la France, presque tous les départements ont leur camp:

Gurs dans les Hautes Pyrénées; Noé, le Récébédou et Clairfont en Haute-Garonne; Caylus, Septfonds, et Montech en Tarn et Garonne; Brens et Saint-Sulpice dans le Tarn; Rivesaltes et Argelès dans les Pyrénées Orientales, et donc Le Vernet, et Villeneuve du Paréage en Ariège.

Il faut imaginer qu’alors, le camp a une superficie de 50 hectares, entouré de barbelés.

Les baraques mesurent 66 mètres de long et 3 mètres environ de large.
Il y a 200 prisonniers par bâtiment.

A l’intérieur, des lits de part et d’autre sur deux étages.

Et des conditions de vie particulièrement dures, «il valait mieux dormir à l’étage supérieur pour éviter les coups de trique quand il fallait se lever le matin» raconte Raymond Cubells.

Sans parler des conditions d’hygiène, de la nourriture, du froid.

Les détenus sont divisés en quartiers.

Le quartier A pour les «droits communs» (condamnés pour défaut de carte d’identité, faux papiers), le quartier B pour les «politiques ou professant des idées extrémistes» (dont 60% sont des antinazis ou antifascistes), le quartier C pour les «suspects d’un point de vue national»

En tout, on estime qu’entre 30 000 et 40 000 personnes seraient passées par le camp, avec plus d’une soixantaine de nationalités (Chines, Argentine, Albanie, Angleterre...), dont beaucoup faisaient partie des brigades internationales.

Il y a aussi des apatrides, déchus de leurs nationalités ou qui l’avaient abandonnée en fonction des circonstances politiques dans leur pays.

«Dès le début, le camp s’est appelé camp de concentration, dans le sens où on concentrait des populations.

On peut dire que ce sont les prémices de la seconde guerre mondiale» explique le président de l’amicale.

A la gare, l’association a d’ailleurs racheté un wagon, ayant servi à la déportation.

Car si en 1939, le motif principal d’arrestation est politique, à l’automne 1940, les autorités françaises se basent sur des considérations raciales.

Les camps français deviennent donc des antichambres de la déportation.

Et Le Vernet n’échappe pas à la règle.
Environ 1000 juifs sont internés au camp.

Et de la gare du village, des milliers de juifs (hommes, femmes, enfants) et d’antifascistes sont dirigés vers Auschwitz et Dachau.

Considérés comme «en transit», ils ne semblent pas avoir été comptabilisés dans les registres du camp.

Car il reste encore beaucoup de choses à mettre en lumière.

«Aux archives de Foix, il y a 500 mètres d’archives qui ne parlent que du camp précise Raymond Cubells, qui souhaiterait que cette partie de l’histoire ariégeoise soit approfondie.

L’association œuvre donc aujourd’hui à ce que l’on n'oublie pas le passé dans ce camp qui a aujourd’hui laissé la place aux cultures céréalières.

Quant aux parallèles qui sont parfois faits avec la période actuelle, ils ne dérangent pas Raymond Cubells, quand il s’agit de la période 1939: «quand j’ai travaillé sur la réalisation de la nouvelle exposition du musée, il y a 2 ou 3 ans et que j’écoutais la radio en rentrant le soir, c’était le même discours: étrangers, indésirable, la peur, beaucoup de xénophobie»

Mais plus puissants que tous les discours, il ne faut pas hésiter à aller voir les superbes dessins de certains internés exposés au petit musée du Vernet.

Des croquis qui, à eux seuls, disent tout.

17/11/2010

[Compléter l'article]

1 Famille internée - Camp du Vernet-d'Ariège [Ajouter une famille]

Famille Marly : 
Nationalité Belge
Walthère Marly, originaire de Malmedy, un des trois cantons belges annexés par l'Allemagne en mai 1940, agent au sein du réseau Carte, est arrêté le 6 septembre 1942, en gare de Marmande par la Sûreté française au service du gouvernement de Vichy. Interné trois jours au camp de La Réole, il est ensuite transféré à la prison d'Agen, puis au camp du Vernet dans l'Ariège avec le statut de prisonnier politique. Il s'évade le 20 novembre 1942.
Arrivée au lieu d'internement : 09/1942
Destination : 20/11/1942 -
(Source: CRDP Reims )

Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Amicale des Anciens Internés politiques et résistants du Camp du Vernet d'Ariège (Depuis sa création en 1971, l’amicale a travaillé à perpétuer le souvenir des dizaines de milliers d’hommes internés dans ce camp. )
2 Rencontre avec Paul Niedermann (Conférence de Paul Niedermann (1h24) enregistrée en mars 2011 au collège d'Estagel dans les Pyrénées-Orientales. Paul Niedermann retrace son parcours entre 1935 et 1945 de Karlsruhe à la Maison d'Izieu, en détaillant son passage au Camp de Rivesaltes. )
3 Page Facebook de Lois Gunden Clemens
4 Lien vers l'éditeur du livre "La Villa St Christophe à Canet-Plage" (La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943 )
5 Vous êtes venus me chercher (Blog de l'auteur - parutions, conférences, signatures... )
6 Elie Cavarroc, Juste des Nations (M. Elie Cavarroc, nommé Juste des Nations. Référence du dossier n°10002 du Comité Français pour Tad Vashem )

Chronologie [Ajouter]

12/04/1939 - Décret du 12 avril 1939 sur la création des CTE (Compagnies de Travailleurs Étrangers).
27/09/1940 - Loi du 27 septembre 1940 sur la création des GTE (Groupements des Travailleurs Étrangers).
22/02/1941 - Décret du 22 février 1941 sur les sanctions à appliquer dans les GTE (Groupements des Travailleurs Étrangers).
02/11/1945 - Ordonnance du 2 novembre 1945 sur la dissolution des GTE (Groupements de Travailleurs Étrangers).


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

Comment ajouter le votre. En savoir plus…

Vous êtes venus me chercher L'histoire de Rosa Goldmark, Récit 157 pages, réalisation 2014
Auteur : SYLVIE GOLL SOLINAS - terminal


Annonces de recherche [Déposer une annonce]


***  RECHERCHE KLAR ROMAN OU ROMAND Déposée le 11/02/2020

    bonjour,Je suis a la recherche d'informations concernant un membre de ma famille KLAR ROMAN ou ROMAND. d'après la préfecture de la Loire,il aurait été interné au camp du Vernet d'Ariège le 20/11/1939. Il serait né le 15/08/1888 en Pologne et décédé le 13/03/1945 en Allemagne. Merci d'avance [répondre]

***  Recherche de Salomon Forster Déposée le 23/10/2012

    Bonjour,
    Je recherche des informations sur un oncle qui arrêté en mai 1940 est resté au camp du Vernet jusqu'en aout 1942 (déporatation à Auschwitz). Il s'agit de Forster Salomon (mais le prénom peut avoir changé) né en 1911, juif de nationalité polonaise et vivant à Bruxelles. j'aurais voulu savoir si une recherche est possible dans le fond des photographies et des vieux négatifs retrouvés en 1993 (cf le film de Linda Ferrer-Roca).
    merci pour votre aide
    [répondre]
Répondue le 04/09/2013
    Bonjour, j'ai trouvé un FORSTER mais Bernhard - indiqué Polonais - aux Archives du Camp du Vernet. J'ai fait une photo de la partie de la page de son inSCRLPTion au Camp. Est-ce que ça pourrait vous intéresser ? Il y a des photos au Musée du Vernet mais les noms correpondant ne sont pas inscrits. Si ceci vous intéresse,contactez-moi au 06 14 83 49 25. 
Répondue le 31/10/2015
    Bonjour,

    Salomon Forster apparaît bien sous la référence:: 5W336, n°6956 (Archives Départementales de l’Ariège
    59 Chemin de la Montagne, 09000 Foix
    Téléphone :05 34 09 36 80).

    Sa fiche mentionne les éléments suivants:
    Nom : Forster
    Prénom : Salomon
    Nationalité : Polonais
    Date d’arrivée au camp du Vernet d’Ariège : ? (non mentionnée)
    Venant de : Bram (camp de Bram)
    Départ du camp du Vernet : 08/08/1942
    Vers : Chalons-sur-Saône

    Cordialement


     

[Signaler que le contenu de cet article vous semble erroné]




Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org
 * Juste parmi les Nations
 

Justes parmi les Nations - Righteous among the Nations - De Gerechten mank de Völker - Giusti tra le nazioni - Drept între popoare - Gerechter unter den Völkern - Sprawiedliwy wsród Narodów Swiata - Rechtvaardige onder de Volkeren - Justuloj inter la popoloj - Rättfärdig bland folken - Spravodlivý medzi národmi - Spravedlivý mezi národy - Vanhurskaat kansakuntien joukossa - Világ Igaza - Justos entre as nações - Justos entre las Naciones - Justos entre les Nacions
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024